Publié le 27/08/2018 à 07:34
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Le Messin, 139e mondial, possède de sérieux arguments pour coiffer sur le poteau ses compatriotes dans ce combat symbolique du retour des français qui performent aux Etats-Unis alors qu'ils sont au-delà du top 100.
Son été a marqué les esprits
A 20 ans, il esquisse un léger sourire quand on l’interroge sur ces chiffres qui pointent le manque de relève des Bleus. "Plus de deux ans sans grosses performances de Français, classés +100 ?, Je ne sais, je ne connais pas ces statistiques. Mais c’est un objectif et c’est vrai que ça progresse bien." Le frêle gaucher messin - 71 kilos seulement - est modeste. Il y a un an, il était 700e mondial !
Quart de finaliste l’an passé au Challenger de Brest, il obtenait dans la foulée une invitation pour disputer les qualifications à Bercy, s’offrant son premier Top 100. Mais c’est son été qui a marqué les esprits. Vainqueur du Future de Bourg-en-Bresse, finaliste dans deux Challengers au Canada, il revient en Europe pour soulever le trophée le 5 août à Ségovie, Un peu de repos en famille et il reprend la route pour franchir les qualifications à New York, après être passé à deux points de l’élimination au premier tour.
Un joueur agressif, qui laisse parler son feeling
"Il ne faut pas trop regarder le classement", dit-il. "Je vais essayer de prendre du plaisir car c'est mon premier tableau. Je suis curieux de voir ce que ça donne"."Malgré l’inconnue du premier match en trois sets gagnants, le Français connaît ses forces." Je me décrirais comme agressif, je m’appuie sur mon service et je sais à peu près tout faire, je laisse parler mon feeling." Un peu comme ses illustres aînés lorrains. "Olivier Delaître, Olivier Mutis, Julien Boutter, c’est sympa d’être comparé à eux mais je vais déjà faire mon chemin, sourit-il. J’ai quelques contacts avec Mutis, qui est capitaine de l’équipe de l’ASPTT Metz. Je pense qu’ils suivent ma trajectoire". (avec BFM)
Son été a marqué les esprits
A 20 ans, il esquisse un léger sourire quand on l’interroge sur ces chiffres qui pointent le manque de relève des Bleus. "Plus de deux ans sans grosses performances de Français, classés +100 ?, Je ne sais, je ne connais pas ces statistiques. Mais c’est un objectif et c’est vrai que ça progresse bien." Le frêle gaucher messin - 71 kilos seulement - est modeste. Il y a un an, il était 700e mondial !
Quart de finaliste l’an passé au Challenger de Brest, il obtenait dans la foulée une invitation pour disputer les qualifications à Bercy, s’offrant son premier Top 100. Mais c’est son été qui a marqué les esprits. Vainqueur du Future de Bourg-en-Bresse, finaliste dans deux Challengers au Canada, il revient en Europe pour soulever le trophée le 5 août à Ségovie, Un peu de repos en famille et il reprend la route pour franchir les qualifications à New York, après être passé à deux points de l’élimination au premier tour.
Un joueur agressif, qui laisse parler son feeling
"Il ne faut pas trop regarder le classement", dit-il. "Je vais essayer de prendre du plaisir car c'est mon premier tableau. Je suis curieux de voir ce que ça donne"."Malgré l’inconnue du premier match en trois sets gagnants, le Français connaît ses forces." Je me décrirais comme agressif, je m’appuie sur mon service et je sais à peu près tout faire, je laisse parler mon feeling." Un peu comme ses illustres aînés lorrains. "Olivier Delaître, Olivier Mutis, Julien Boutter, c’est sympa d’être comparé à eux mais je vais déjà faire mon chemin, sourit-il. J’ai quelques contacts avec Mutis, qui est capitaine de l’équipe de l’ASPTT Metz. Je pense qu’ils suivent ma trajectoire". (avec BFM)