Publié le 28/08/2018 à 06:05
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La belle histoire continue pour le messin à New-York. Pour sa première participation à un tournoi du Grand-Chelem, Ugo Humbert a passé le 1er tour face à l'américain Collin Altamirano (345e mondial) en 3 sets 6-3, 7-6 (7/4), 6-3.
David contre Goliath
Le jeune 139ème mondial et pensionnaire de l'ASPTT Metz va désormais goûter au très haut niveau en faisant face au suisse Stanislas Wawrinka, triple vainqueur en Grand Chelem et notamment vainqueur à New-York en 2016. Aujourd'hui 101ème mondial à cause de problèmes physiques et des résultats en dents de scie, il revient et a battu le Bulgare Grigor Dimitrov (8e à l'ATP) lundi en trois sets secs.
Le déclic
Avec un score de 6-3, 7-6, 6-3, le natif de Metz a en effet été sans pitié pour son entrée dans le tableau. De quoi clore un été brillant, avec trois finales Challenger d’affilée, dont le titre à Ségovie début août. Un déclic qui s’est produit après Roland Garros et le match de qualification perdu d’entrée : «Avec l’équipe on lui a fixé un ultimatum. Il avait besoin de réfléchir et de ne pas être tiède, de s’engager à 100% pour le haut niveau. Il nous a donné sa réponse, et à partir de là c’est parti», raconte l’entraineur de la fédération Cédric Raynaud, avec qui le gaucher travaille depuis quatre ans.
David contre Goliath
Le jeune 139ème mondial et pensionnaire de l'ASPTT Metz va désormais goûter au très haut niveau en faisant face au suisse Stanislas Wawrinka, triple vainqueur en Grand Chelem et notamment vainqueur à New-York en 2016. Aujourd'hui 101ème mondial à cause de problèmes physiques et des résultats en dents de scie, il revient et a battu le Bulgare Grigor Dimitrov (8e à l'ATP) lundi en trois sets secs.
Le déclic
Avec un score de 6-3, 7-6, 6-3, le natif de Metz a en effet été sans pitié pour son entrée dans le tableau. De quoi clore un été brillant, avec trois finales Challenger d’affilée, dont le titre à Ségovie début août. Un déclic qui s’est produit après Roland Garros et le match de qualification perdu d’entrée : «Avec l’équipe on lui a fixé un ultimatum. Il avait besoin de réfléchir et de ne pas être tiède, de s’engager à 100% pour le haut niveau. Il nous a donné sa réponse, et à partir de là c’est parti», raconte l’entraineur de la fédération Cédric Raynaud, avec qui le gaucher travaille depuis quatre ans.