Le PSG n'ira pas plus loin en Ligue des Champions.
Les hommes de Laurent Blanc, trop repliés, ont subit la foudre de Stamford Bridge face à des Blues, bien décider à leur en faire baver malgré 2 buts de retard. Le score final 2-0 qualifie les anglais pour les demi-finales de la coupe d'Europe.
Un match qui laissera des traces
Après un premier quart d’heure d’observation, les joueurs de Chelsea et du PSG rentrent enfin dans le vif du sujet. Paris occupe la zone des Blues, et tient très bien la comparaison avec les Anglais. La première erreur arrive après 30 minutes de jeu.
Spectateurs, les Parisiens ne peuvent éviter l’ouverture du score de Schurrle qui récupère d'une demi-volée un ballon dans la surface venant d'une touche.
Le reste du match sera tendu, serré, physique. Le coaching de Laurent Blanc permet de faire tourner l’effectif et de lutter contre le grand Chelsea.
Paris tient, attaque, mais ne parvient jamais à faire la différence. Aucun but pour le PSG à la mi-temps.
Dès le retour des vestiaires, Edinson Cavani aura deux belles occasions de tuer tout suspens... Mais rien..Le ballon s'envolera par deux fois au dessus de la cage adverse en 10 minutes.
Alors que la fin du match se profile, Chelsea marque à la 87e par Ba, entré peu de temps avant. Chelsea se qualifie une nouvelle fois pour les demi-finales. Paris quitte la compétition. Les joueurs de la cpitale restent sur la pelouse médusés.
Le manque "Zlatan"
Il a pris quelques photos, a poussé ses partenaires mais Zlatan Ibrahimovic ne leur a été d’aucune aide. Blessé lors du match aller, le Suédois a beau avoir été transparent au Parc des Princes, on se dit qu’il n’aurait pas été de trop à Stamford Bridge.
Car même tourmenté par Chelsea, le PSG a eu quelques occasions de marquer LE but quasi-synonyme de qualification. Une action pour résumer: aligné en pointe, Edinson Cavani a eu la balle de match sur une superbe ouverture de Yohan Cabaye mais l’Uruguayen n’a pas cadré sa tentative (77e). Dix minutes plus tard, Demba Ba offrait la demi-finale à ses partenaires.
Qu’il s’appelle Zlatan, Edinson ou Ezequiel, Paris avait juste besoin d’un buteur.
