Publié le 15/05/2018 à 05:29
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À 37 ans, le vosgien Julien Absalon a décidé de prendre sa retraite avec effet immédiat.
Plus beau palmarès du VTT, le double champion olympique et quintuple champion du monde était diminué par les allergies depuis le début de saison.
Une décision inattendue alors que le champion olympique en 2004 et 2008 avait lancé dernièrement une équipe à son nom, «Absolute Absalon» et qu’il prévoyait de courir jusqu’en 2019. Une retraite prématurée donc, qu’il doit à des problèmes d’allergie trop handicapants. «L'élément déclencheur, c'est le problème d'allergie. Cela fait déjà trois saisons que je suis allergique aux pollens du bassin méditerranéen et que je souffre en début de saison. Le docteur m'avait dit que cela irait en s'aggravant. A Heubach (Coupe d'Allemagne, le 29 avril), je me suis rendu compte que j'étais allergique aux pollens du Nord de l'Europe. J'ai pris un super départ mais ensuite je n'arrivais plus à respirer correctement. J'avais un goût de sang au niveau des bronches. Ces nouvelles allergies, c'est deux mois de problèmes en plus. J'ai pris un coup au moral», regrette Julien Absalon dans L’Equipe.
«Je me suis aussi rendu compte que mes nouveaux objectifs, hors compétition, prenaient le pas sur les objectifs de compétition», ajoute-il.
Plus beau palmarès du VTT, le double champion olympique et quintuple champion du monde était diminué par les allergies depuis le début de saison.
Une décision inattendue alors que le champion olympique en 2004 et 2008 avait lancé dernièrement une équipe à son nom, «Absolute Absalon» et qu’il prévoyait de courir jusqu’en 2019. Une retraite prématurée donc, qu’il doit à des problèmes d’allergie trop handicapants. «L'élément déclencheur, c'est le problème d'allergie. Cela fait déjà trois saisons que je suis allergique aux pollens du bassin méditerranéen et que je souffre en début de saison. Le docteur m'avait dit que cela irait en s'aggravant. A Heubach (Coupe d'Allemagne, le 29 avril), je me suis rendu compte que j'étais allergique aux pollens du Nord de l'Europe. J'ai pris un super départ mais ensuite je n'arrivais plus à respirer correctement. J'avais un goût de sang au niveau des bronches. Ces nouvelles allergies, c'est deux mois de problèmes en plus. J'ai pris un coup au moral», regrette Julien Absalon dans L’Equipe.
«Je me suis aussi rendu compte que mes nouveaux objectifs, hors compétition, prenaient le pas sur les objectifs de compétition», ajoute-il.