Publié le 25/09/2018 à 04:00
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Deux supporters du FC Metz, âgés de 23 et 24 ans, comparaissent aujourd'hui devant le tribunal correctionnel de Metz, pour violence aggravée.
Le 3 décembre 2016, la rencontre avait dû être arrêtée alors que des pétards avaient été lancés depuis les tribunes du stade Saint-Symphorien. Les pétards avaient atteint le gardien lyonnais, Anthony Lopes, ainsi qu’un médecin du club rhodanien.
Les deux individus ciblés, âgés de 23 et 24 ans, n’étaient pas encartés dans le groupe, bien qu’ils se trouvaient dans la même tribune que les supporters de la Horda Frénétik. Les enquêteurs étaient parvenus à identifier deux individus. Le troisième n’a jamais pu être reconnu.
Condamnation possible
Poursuivis pour violence aggravée, pour introduction et jet de projectile dans une enceinte sportive, ils encourent jusqu'à 3 ans de prison et 45.000 euros d'amende. Le FC Metz s’est constituée partie civile et pourrait réclamer un million d’euros de dommages et intérêts, selon les précisions du Républicain Lorrain.
Le 3 décembre 2016, la rencontre avait dû être arrêtée alors que des pétards avaient été lancés depuis les tribunes du stade Saint-Symphorien. Les pétards avaient atteint le gardien lyonnais, Anthony Lopes, ainsi qu’un médecin du club rhodanien.
Les deux individus ciblés, âgés de 23 et 24 ans, n’étaient pas encartés dans le groupe, bien qu’ils se trouvaient dans la même tribune que les supporters de la Horda Frénétik. Les enquêteurs étaient parvenus à identifier deux individus. Le troisième n’a jamais pu être reconnu.
Condamnation possible
Poursuivis pour violence aggravée, pour introduction et jet de projectile dans une enceinte sportive, ils encourent jusqu'à 3 ans de prison et 45.000 euros d'amende. Le FC Metz s’est constituée partie civile et pourrait réclamer un million d’euros de dommages et intérêts, selon les précisions du Républicain Lorrain.