Publié le 17/10/2018 à 04:10
Temps de lecture : 2
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Sportive handisport reconnue, Anita Fatis, privée de l’usage de ses jambes, s’est lancé un nouveau défi : escalader le Manaslu qui culmine à 5 219 mètres, un des sommets de l'Himalaya.
Son périple l'amènera sur le toît du monde à bord d'un fauteuil adapté. Elle sera accompagnée de sherpas mais surtout de son mari, son kiné et une autre accompagnatrice. Le départ est prévu le 1er novembre pour un retour en France annoncé au 25. Les températures sur place sont glaciales (-20 à -30 degrés).
La préparation d'Anita et ses proches a été intense et millimétrée. Aujourd'hui, la sportive est en phase de traitement pour récupérer avant l'échéance qui arrivera dans deux semaines maintenant. C'est un défi de plus pour cette femme de 55 ans, qui combat la sclérose en plaques depuis près de 30 ans. Pourtant, la maladie ne l'a pas empêché de soulever "déjà" des montagnes en participant aux J.O de Londres et Rio en 2012 et 2016.
Aujourd'hui, à l'approche du départ, Anita est pleine d'adrénaline, mais aussi d'un certain stress. Le parcours a subit des modifications suite à des décrochages de roches en montagnes mais aussi suite à un récent accident mortel sur la ligne que la Lorraine va utiliser avec ses proches durant le trek. En attendant, le leit-motiv reste le même : il faudra repousser ses limites et planter au sommet du Manaslu, le drapeau qu'elle a confectionné ! (crédits photos : raoul gilibert)
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Son périple l'amènera sur le toît du monde à bord d'un fauteuil adapté. Elle sera accompagnée de sherpas mais surtout de son mari, son kiné et une autre accompagnatrice. Le départ est prévu le 1er novembre pour un retour en France annoncé au 25. Les températures sur place sont glaciales (-20 à -30 degrés).
La préparation d'Anita et ses proches a été intense et millimétrée. Aujourd'hui, la sportive est en phase de traitement pour récupérer avant l'échéance qui arrivera dans deux semaines maintenant. C'est un défi de plus pour cette femme de 55 ans, qui combat la sclérose en plaques depuis près de 30 ans. Pourtant, la maladie ne l'a pas empêché de soulever "déjà" des montagnes en participant aux J.O de Londres et Rio en 2012 et 2016.
Aujourd'hui, à l'approche du départ, Anita est pleine d'adrénaline, mais aussi d'un certain stress. Le parcours a subit des modifications suite à des décrochages de roches en montagnes mais aussi suite à un récent accident mortel sur la ligne que la Lorraine va utiliser avec ses proches durant le trek. En attendant, le leit-motiv reste le même : il faudra repousser ses limites et planter au sommet du Manaslu, le drapeau qu'elle a confectionné ! (crédits photos : raoul gilibert)
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