Publié le 31/08/2017 à 08:38
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La commission de discipline de la LFP a tranché, Geoffrey Jourdren écope d’une peine très lourde de dix matchs de suspensions suite aux événements survenus au terme du match entre le Stade Brestois et l’AS Nancy Lorraine.
Juste après le coup de sifflet final au stade Francis-Le-Blé, alors que Nancy vient de subir un nouveau revers (2-1) en Ligue 2, le portier des Lorrains se fait chahuter verbalement par les ultras du Stade Brestois situés juste derrière ses buts.
Sauf qu’au lieu de faire comme tous les joueurs de foot habitués à se faire chambrer et insulter dès qu’ils jouent à l’extérieur, à savoir se taire et ignorer les attaques, Geoffrey Jourdren a décidé de ne pas se laisser faire. Sur le point de rentrer au vestiaire, l’ancien gardien montpelliérain est finalement revenu sur ses pas afin d’expédier le ballon sur les supporters de Brest, ce qui a entraîné un envahissement partiel de la pelouse et créé une grosse confusion.
Après les ultras, c’est à l’arbitre, Mr Hakim Ben el-Hadj, que Jourdren s’en est pris, à tel point que ses coéquipiers ont dû s’interposer et le ramener au vestiaire pour ne pas que les choses dégénèrent définitivement. (AFP/20 minutes)
Juste après le coup de sifflet final au stade Francis-Le-Blé, alors que Nancy vient de subir un nouveau revers (2-1) en Ligue 2, le portier des Lorrains se fait chahuter verbalement par les ultras du Stade Brestois situés juste derrière ses buts.
Sauf qu’au lieu de faire comme tous les joueurs de foot habitués à se faire chambrer et insulter dès qu’ils jouent à l’extérieur, à savoir se taire et ignorer les attaques, Geoffrey Jourdren a décidé de ne pas se laisser faire. Sur le point de rentrer au vestiaire, l’ancien gardien montpelliérain est finalement revenu sur ses pas afin d’expédier le ballon sur les supporters de Brest, ce qui a entraîné un envahissement partiel de la pelouse et créé une grosse confusion.
Après les ultras, c’est à l’arbitre, Mr Hakim Ben el-Hadj, que Jourdren s’en est pris, à tel point que ses coéquipiers ont dû s’interposer et le ramener au vestiaire pour ne pas que les choses dégénèrent définitivement. (AFP/20 minutes)
