Vandières ou pas ? C'est la question qui se pose autour de ce projet de gare d'interconnexion TGV-TER chiffré aujourd'hui à au moins 120-140 millions d'euros et qui fait toujours débat.
La faute à une certaine réticence politique locale mais aussi à la présence de la gare de Louvigny. Une structure qui serait amenée à disparaître, une fois la nouvelle gare sur pied.
Pourtant les feux sont au vert pour Vandières : Christian Eckert, secrétaire d'État au Budget, a donné l'assurance d'une forte participation de l'État au financement, via la part additionnelle de la taxe sur les produits énergétiques. Une somme qui s'ajouterait aux 40 millions d'euros déjà promis.
Alors, côté politique, difficile de se mettre d'accord : Patrick Weiten, le président du conseil général de la Moselle, ne veut pas de Vandières.
Jean-pierre Masseret, le président de la Région lui, appelle à la consultation des Lorrains.
