Publié le 01/05/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
min
Le laboratoire Ceraver aurait mis en circulation des prothèses articulaires ne bénéficiant pas des normes européennes.
650 cas seraient concernées.
Après expertise de l’Agence nationale de sécurité du médicament, le logo CE n'apparaissait pas sur les emballages.
Pire, les tests menés sur les revêtements avec des souris de laboratoire, se sont soldés par un décès sur deux.
Le PDG de Ceraver, a avoué être en faute. Il a déclaré que les modifications apportées aux prothèses étaient mineures et ne justifiaient pas de nouvelle certification.
Aujourd'hui, près d'un millier de prothèses de la hanche non certifiées fabriquées par la société Ceraver ont d'ores et déjà été placées sous séquestre en attendant une décision formelle de police sanitaire la semaine prochaine, a indiqué François Hébert, directeur général adjoint de l'Agence du médicament (ANSM)
Le Directeur Général qui souligne par ailleurs, qu'à ce stade, rien ne démontre «un risque sanitaire» lié à ces dispositifs.
650 cas seraient concernées.
Après expertise de l’Agence nationale de sécurité du médicament, le logo CE n'apparaissait pas sur les emballages.
Pire, les tests menés sur les revêtements avec des souris de laboratoire, se sont soldés par un décès sur deux.
Le PDG de Ceraver, a avoué être en faute. Il a déclaré que les modifications apportées aux prothèses étaient mineures et ne justifiaient pas de nouvelle certification.
Aujourd'hui, près d'un millier de prothèses de la hanche non certifiées fabriquées par la société Ceraver ont d'ores et déjà été placées sous séquestre en attendant une décision formelle de police sanitaire la semaine prochaine, a indiqué François Hébert, directeur général adjoint de l'Agence du médicament (ANSM)
Le Directeur Général qui souligne par ailleurs, qu'à ce stade, rien ne démontre «un risque sanitaire» lié à ces dispositifs.