Publié le 30/01/2018 à 05:59
Temps de lecture : 2
min
Le gouvernement confirme sa position sur le site d'enfouissement des déchets nucléaire de Bure.
Le secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Sébastien Lecornu a visité hier le laboratoire souterrain d'enfouissement des déchets nucléaires à vie longue à Bure dans le Meuse.
Malgré la contestation, Le secrétaire d'Etat a tenu à exprimer aux élus locaux la "solidarité nationale" avant d'annoncer un comité de haut niveau prévu le 7 mars au ministère de la Transition écologique. Un comité qui réunira notamment l'Andra, Areva, EDF et les élus de la Meuse et de la Haute-Marne, pour construire, je cite, "un projet commun de territoire et y adapter une fiscalité propre".
Retour sur site
Sébastien Lecornu a promis de revenir sur le site pour rencontrer les opposants et a mis en garde ceux qui se montreraient virulents : "Les oppositions qui ne seraient pas dans la légalité sont inacceptables. Les oppositions radicalisées, qui commettent des actes de délinquance comme cela a pu être le cas, ont vocation à être traduites et traitées devant les tribunaux de la justice française".
En attendant à Bure, des opposants au projet luttent depuis dix ans. L’épilogue récent du dossier Notre-Dame-des-Landes les a regonflés.
Le projet Cigéo devrait coûter 25 milliards d'euros et une phase pilote devrait démarrer en 2025.
Le secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire, Sébastien Lecornu a visité hier le laboratoire souterrain d'enfouissement des déchets nucléaires à vie longue à Bure dans le Meuse.
Malgré la contestation, Le secrétaire d'Etat a tenu à exprimer aux élus locaux la "solidarité nationale" avant d'annoncer un comité de haut niveau prévu le 7 mars au ministère de la Transition écologique. Un comité qui réunira notamment l'Andra, Areva, EDF et les élus de la Meuse et de la Haute-Marne, pour construire, je cite, "un projet commun de territoire et y adapter une fiscalité propre".
Retour sur site
Sébastien Lecornu a promis de revenir sur le site pour rencontrer les opposants et a mis en garde ceux qui se montreraient virulents : "Les oppositions qui ne seraient pas dans la légalité sont inacceptables. Les oppositions radicalisées, qui commettent des actes de délinquance comme cela a pu être le cas, ont vocation à être traduites et traitées devant les tribunaux de la justice française".
En attendant à Bure, des opposants au projet luttent depuis dix ans. L’épilogue récent du dossier Notre-Dame-des-Landes les a regonflés.
Le projet Cigéo devrait coûter 25 milliards d'euros et une phase pilote devrait démarrer en 2025.