Publié le 17/10/2017 à 05:04
Temps de lecture : 2
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Les gares desservies par le TGV pourraient diminuer d'ici 2030.
L'ancien PDG d'Air France-KLM, Jean-Cyril Spinetta, est chargé par le gouvernement de préparer l'avenir du ferroviaire en France et réfléchis donc à la transformation du secteur ferroviaire qui selon lui, pâtit de faiblesses structurelles. La ministère des Transports a énuméré "un réseau à deux vitesses qui ne répond pas assez aux besoins du transport de la vie quotidienne", mais aussi "un système TGV fragilisé avec des billets souvent considérés comme trop chers".
Aujourd'hui, près de 70% des dessertes sont déficitaires et la dette de SNCF Réseau atteint 45 milliards d'euros et continue à augmenter de trois milliards par an.
Les gares de Nancy et Metz qui acceuillent le TGV ne devraient rien craindre. Et pour cause, les deux gares alimentent le Grand Est et permettent de rejoindre Paris. Le nombre de voyageurs utilisant le TGV en grande région reste conséquent.
Les A/R des trains à grande vitesse font toujours recette sur le secteur et ne devraient donc pas être bousculés par ces changements prévus pour l'avenir du ferroviaire en métropole.
L'ancien PDG d'Air France-KLM, Jean-Cyril Spinetta, est chargé par le gouvernement de préparer l'avenir du ferroviaire en France et réfléchis donc à la transformation du secteur ferroviaire qui selon lui, pâtit de faiblesses structurelles. La ministère des Transports a énuméré "un réseau à deux vitesses qui ne répond pas assez aux besoins du transport de la vie quotidienne", mais aussi "un système TGV fragilisé avec des billets souvent considérés comme trop chers".
Aujourd'hui, près de 70% des dessertes sont déficitaires et la dette de SNCF Réseau atteint 45 milliards d'euros et continue à augmenter de trois milliards par an.
Les gares de Nancy et Metz qui acceuillent le TGV ne devraient rien craindre. Et pour cause, les deux gares alimentent le Grand Est et permettent de rejoindre Paris. Le nombre de voyageurs utilisant le TGV en grande région reste conséquent.
Les A/R des trains à grande vitesse font toujours recette sur le secteur et ne devraient donc pas être bousculés par ces changements prévus pour l'avenir du ferroviaire en métropole.