Publié le 31/08/2018 à 07:22
Temps de lecture : 2
min

Le Président de la Commission européenne Jean-Claude Junker l'a confirmé aux médias allemands ce matin : Nous allons rester à l'heure d'été suite à la grande consultation européenne lancée dernièrement.
Huit votants sur dix contre le changement d'heure !
C’est du jamais-vu pour ce genre d’exercice ! Les Allemands se sont prononcés en masse, mais des dizaines de milliers de Français également. Et les réponses s'orientent très clairement dans le même sens : huit personne sur dix qui ont fait la démarche d'aller répondre à la consultation veulent ainsi que l'on mette fin à l’alternance entre l'heure d’hiver et l'heure d’été.
Un vote qui concorde avec celui des élus
À quelques mois des élections européennes, il paraît difficile de pouvoir ignorer cette demande populaire. D’autant qu’en février, le Parlement de Strasbourg avait voté dans le même sens, en dénonçant les effets négatifs du système actuel sur le sommeil, et donc sur la santé.
Une décision nécessairement globale
Pour revenir à une heure fixe, il faudrait une proposition de loi de la Commission européenne et un vote des Etats membres.
Une telle mesure implique d'être suivie par l'ensemble de l'Union - ou par personne -, au risque de créer des problèmes de taille dans les transports ou l’économie. Bruxelles veut d’abord consulter avant de se prononcer. Donc fin octobre, nous reculerons encore les aiguilles de la pendule, mais peut-être bien pour l’une des dernières fois…
Huit votants sur dix contre le changement d'heure !
C’est du jamais-vu pour ce genre d’exercice ! Les Allemands se sont prononcés en masse, mais des dizaines de milliers de Français également. Et les réponses s'orientent très clairement dans le même sens : huit personne sur dix qui ont fait la démarche d'aller répondre à la consultation veulent ainsi que l'on mette fin à l’alternance entre l'heure d’hiver et l'heure d’été.
Un vote qui concorde avec celui des élus
À quelques mois des élections européennes, il paraît difficile de pouvoir ignorer cette demande populaire. D’autant qu’en février, le Parlement de Strasbourg avait voté dans le même sens, en dénonçant les effets négatifs du système actuel sur le sommeil, et donc sur la santé.
Une décision nécessairement globale
Pour revenir à une heure fixe, il faudrait une proposition de loi de la Commission européenne et un vote des Etats membres.
Une telle mesure implique d'être suivie par l'ensemble de l'Union - ou par personne -, au risque de créer des problèmes de taille dans les transports ou l’économie. Bruxelles veut d’abord consulter avant de se prononcer. Donc fin octobre, nous reculerons encore les aiguilles de la pendule, mais peut-être bien pour l’une des dernières fois…