
Leur colère s'exprime une nouvelle fois sur la route !
Les chauffeurs de taxis imposent plusieurs opération escargot autour des grandes villes de provinces, des gares, des aéroports, mais aussi un blocus autour de Paris
Les taxis protestent contre le travail illégal des chauffeurs improvisés et leurs sociétés : on parle biensûr de Uber, Heetch ou encore Djump
Des sociétés, selon leurs propos qui continuent à commercialiser et diffuser des applications illégales de promotion de travail clandestin selon les taxis en colère.
Le système UberPop critiqué
Uber revendique 400 000 utilisateurs d’UberPop en France, où le nombre de taxis est faible. Mais les chauffeurs sont des particuliers qui ne paient ni cotisations sociales ni impôts, n’ont pas suivi les deux cent cinquante heures de formation nécessaires pour obtenir un agrément et ne sont pas assurés professionnellement.
Le gouvernement a tenté de rassurer les chauffeurs de taxi, en affirmant qu’il allait renforcer ses services contre la fraude. « Nous allons rehausser le niveau de la réponse pénale, notamment à l’égard des réitérants et des récidivistes, en passant à des réponses plus dures », a assuré mardi le procureur de la République de Paris, François Molins, évoquant « des saisies de véhicules ». UberPop est visé depuis la fin de 2014 par une enquête préliminaire à Paris, notamment pour organisation illégale d’un « système de mise en relation de clients avec des personnes qui se livrent au transport routier » de passagers « à titre onéreux ».
Blocages et premiers incidents