Publié le 28/06/2017 à 13:19
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Plus de 100 policiers, gendarmes et sapeurs-pompiers étaient sur place. Le scénario : des hommes lourdement armés qui pénètrent l’établissement. Les proviseurs mosellans et de nombreux enseignants ont joué le rôle de figurant et donc de victimes. Coups de feu, prise d’otages, blessés par balles, tout était scénarisé. Un objectif : se rapprocher de la vie réelle et ainsi faire face en cas d’attaque terroriste.