Publié le 21/02/2017 à 19:26
Temps de lecture : 2
min
Communiqué du CNPE de Cattenom
Dans la nuit du 17 au 18 février 2017, les équipes de la centrale nucléaire de Cattenom ont procédé à la mise à l’arrêt programmée de l’unité de production n°2.
A l’occasion de cet arrêt appelé « visite partielle », un tiers du combustible contenu dans le réacteur sera remplacé*.
Par ailleurs, les équipes de la centrale et des entreprises partenaires procéderont notamment au remplacement de trois poumons du condenseur en salle des machines, à la rénovation complète du système de détection incendie du bâtiment réacteur, au remplacement de l’hydraulique de deux pompes du circuit primaire ou encore au nettoyage préventif des générateurs de vapeur.
Cet arrêt sollicite l’expertise de plus de 1 800 intervenants supplémentaires afin de réaliser les contrôles et les travaux de maintenance programmés. Dans cette optique, le 15 février dernier, les équipes EDF avaient réuni les entreprises prestataires autour des grands enjeux de cet arrêt pour maintenance. Après une présentation des grandes étapes clés par le chef d’arrêt, les participants ont pu échanger avec les ingénieurs et chargés d’affaires sur des thématiques comme la sûreté, la sécurité des intervenants ou encore la radioprotection du personnel intervenant sur les chantiers.
Les unités de production n°1, 3 et 4 fonctionnent et alimentent le réseau électrique.
*Le coeur du réacteur contient 193 assemblages de combustible qui sont remplacés par tiers tous les 18 mois.
Dans la nuit du 17 au 18 février 2017, les équipes de la centrale nucléaire de Cattenom ont procédé à la mise à l’arrêt programmée de l’unité de production n°2.
A l’occasion de cet arrêt appelé « visite partielle », un tiers du combustible contenu dans le réacteur sera remplacé*.
Par ailleurs, les équipes de la centrale et des entreprises partenaires procéderont notamment au remplacement de trois poumons du condenseur en salle des machines, à la rénovation complète du système de détection incendie du bâtiment réacteur, au remplacement de l’hydraulique de deux pompes du circuit primaire ou encore au nettoyage préventif des générateurs de vapeur.
Cet arrêt sollicite l’expertise de plus de 1 800 intervenants supplémentaires afin de réaliser les contrôles et les travaux de maintenance programmés. Dans cette optique, le 15 février dernier, les équipes EDF avaient réuni les entreprises prestataires autour des grands enjeux de cet arrêt pour maintenance. Après une présentation des grandes étapes clés par le chef d’arrêt, les participants ont pu échanger avec les ingénieurs et chargés d’affaires sur des thématiques comme la sûreté, la sécurité des intervenants ou encore la radioprotection du personnel intervenant sur les chantiers.
Les unités de production n°1, 3 et 4 fonctionnent et alimentent le réseau électrique.
*Le coeur du réacteur contient 193 assemblages de combustible qui sont remplacés par tiers tous les 18 mois.
