Publié le 09/07/2013 à 22:00
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812 millions d'euros, c'est la somme versée par erreur à des demandeurs d'emplois l'an dernier, selon un rapport du médiateur de Pôle Emploi qui préconise une simplification des règles de l'assurance chômage.
Ces versements erronés résultent souvent de périodes de travail non déclarées, ou déclarées trop tard, par les chômeurs ou d'erreurs de calcul des droits par les agents de Pôle Emploi.
65% de ces indus ont toutefois été récupérés.
Jean-Louis Walter plaide pour une refonte des règles de calcul de l'indemnisation dans le cas du cumul autorisé de l'allocation chômage avec un travail.
Ce dispositif en faveur des demandeurs d'emplois en activité réduite bénéficie actuellement à la moitié des chômeurs indemnisés.
Selon le médiateur de Pôle Emploi, il est "de nature à générer des indus par sa complexité" et "est arrivé à saturation".
En 2012, les "indus" ont atteint 811,67 millions d'euros, soit 2,5% des 33 milliards d'allocations versées au total. 524 millions, 65% du montant des trop-perçus par des chômeurs, ont été récupérés auprès de ces derniers.
Ces versements erronés résultent souvent de périodes de travail non déclarées, ou déclarées trop tard, par les chômeurs ou d'erreurs de calcul des droits par les agents de Pôle Emploi.
65% de ces indus ont toutefois été récupérés.
Jean-Louis Walter plaide pour une refonte des règles de calcul de l'indemnisation dans le cas du cumul autorisé de l'allocation chômage avec un travail.
Ce dispositif en faveur des demandeurs d'emplois en activité réduite bénéficie actuellement à la moitié des chômeurs indemnisés.
Selon le médiateur de Pôle Emploi, il est "de nature à générer des indus par sa complexité" et "est arrivé à saturation".
En 2012, les "indus" ont atteint 811,67 millions d'euros, soit 2,5% des 33 milliards d'allocations versées au total. 524 millions, 65% du montant des trop-perçus par des chômeurs, ont été récupérés auprès de ces derniers.
