Dans le Grand Est, 16 établissements de santé vont tester le dispositif AKO@Dom-Picto, parmi lesquels le CHR Metz-Thionville, les hôpitaux privés Uneos de Metz, le CHRU de Nancy, ou encore la Polyclinique de Gentilly et le centre hospitalier de Lunéville.
Il s'agit d'une expérimentation, d’une durée de 3 ans, qui propose des traitements du cancer par voie orale ou par immunothérapie, pour assurer un meilleur confort des patients.
Des parcours de soins Ville-Hôpital-Domicile, coordonnés et sécurisés
Le dispositif concerne tous les professionnels de santé : le médecin dès la première consultation, l’infirmière, pour la coordination et le suivi du patient et enfin, le pharmacien de ville, pour la remise du médicament et les explications nécessaires.
Chacun de ces professionnels va contribuer à améliorer la prise en charge du patient, la gestion des effets indésirables et les éventuelles alertes.
Un projet qui pourrait se développer à l'échelon national
Cette nouvelle méthode de suivi pourrait faire l’objet d’un déploiement au niveau national.
Pour les patients, il aura pour conséquence d’améliorer la qualité de vie, la sécurisation de leur parcours et une meilleure adhésion au traitement.
L'expérimentation a démarré et concerne plus d'une centaine de patients en région. Elle durera 3 ans.