Publié le 07/08/2018 à 08:40
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En Lorraine, les piqûres d'une mystérieuse petite mouche ont provoqué d'importantes inflammations chez plusieurs personnes, caractérisées par l'apparition d'oedèmes, rapporte L'Est Républicain.
L'unité d'allergologie du Centre hospitalier régional universitaire de Nancy pense qu'il s'agit de simulies, "des petites mouches noires" auparavant appelé "mouchottes" en Lorraine, et qui seraient une espèce de moustique, selon les explications du professeur Annick Barbaud. Les caractéristiques de ces mouches pourraient en tout cas expliquer l'aspect des impressionnantes piqûres observées sur les différents patients. Lorsqu'elles mordent, les simulies injectent en effet à leur proie de la salive contenant un anticoagulant, qui serait à l'origine de la forte réaction inflammatoire.
Résultat: la piqûre de cette mouche se révèle être beaucoup plus douloureuse qu'une piqûre de moustique classique, et s'accompagne de violentes démangeaisons, d'oedèmes et de lésions violacées.
Se protéger avec un anti-moustique
Le nombre important de piqûres observées ces derniers jours dans la région peut être lié aux températures caniculaires enregistrées en France, car ces mouches sont présentes dans les environnements plutôt chauds, notamment près des sources d'eaux vives. Pour éviter de se faire dévorer par cet insecte, les spécialistes recommandent l'utilisation d'un anti-moustique, et d'être particulièrement vigilant à partir de la tombée du jour.(BFM)
L'unité d'allergologie du Centre hospitalier régional universitaire de Nancy pense qu'il s'agit de simulies, "des petites mouches noires" auparavant appelé "mouchottes" en Lorraine, et qui seraient une espèce de moustique, selon les explications du professeur Annick Barbaud. Les caractéristiques de ces mouches pourraient en tout cas expliquer l'aspect des impressionnantes piqûres observées sur les différents patients. Lorsqu'elles mordent, les simulies injectent en effet à leur proie de la salive contenant un anticoagulant, qui serait à l'origine de la forte réaction inflammatoire.
Résultat: la piqûre de cette mouche se révèle être beaucoup plus douloureuse qu'une piqûre de moustique classique, et s'accompagne de violentes démangeaisons, d'oedèmes et de lésions violacées.
Se protéger avec un anti-moustique
Le nombre important de piqûres observées ces derniers jours dans la région peut être lié aux températures caniculaires enregistrées en France, car ces mouches sont présentes dans les environnements plutôt chauds, notamment près des sources d'eaux vives. Pour éviter de se faire dévorer par cet insecte, les spécialistes recommandent l'utilisation d'un anti-moustique, et d'être particulièrement vigilant à partir de la tombée du jour.(BFM)