Publié le 25/09/2017 à 06:56
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En Moselle : la droite remporte quatre sièges, soit un de plus que dans la précédente législature. Investi par LR, François Grosdidier est réélu, de même que son rival de toujours, Jean-Louis Masson Divers droite, dont la liste remporte deux postes. Président de l’association des maires ruraux, Jean-Marie Mizzon, soutenu par le président UDI du conseil départemental Patrick Weiten, se fait sous fait élire sous ses propres couleurs.
A gauche, l’ex-secrétaire d’Etat aux anciens combattants, le socialiste Jean-Marc Todeschini, sauve son fauteuil, mais sa liste perd un siège en route. Conduite par Bernard Guirkinger, cadre de la Lyonnaise des eaux à la retraite, la liste La Republique en Marche échoue avec 242 voix. La liste FN fait chou blanc avec 110 voix.
En Meurthe-et-Moselle : la droite a gagné son pari. La liste d’union de la droite et du centre conduite par Jean-François Husson fait passer trois sénateurs : ce dernier est réélu, ainsi que Philippe Nachbar, et Véronique Guillotin, conseillère régionale du Pays-Haut, fait son entrée au Sénat. La droite rassemble 934 voix sur 1 943 suffrages exprimés. Le PS sauve l’honneur, grâce à Olivier Jacquin, qui succède à Daniel Reiner, avec 452 suffrages.
La gauche perd un siège – celui de la sénatrice communiste Evelyne Didier, qui ne se représentait pas – et fait les frais de sa désunion et de son incapacité à s’entendre sur une liste unique. LRM arrive assez loin avec 176 voix, quand le FN obtient 43 voix.
En Meuse : ballottage pour les deux sénateurs sortants, Gérard Longuet (LR), avec 47,79 %, à 19 voix d’être élu dès le premier tour, et Christian Namy (divers droite) qui, avec 33,37 %, arrive troisième derrière Claude Léonard (LR), président du conseil départemental. Le doublé LR, envisageable à l’issue du premier tour, ne s’est finalement pas réalisé.
Gérard Longuet est bien réélu, mais Claude Léonard échoue, battu par la stratégie de Christian Namy, qui s’est retiré de la course entre les deux tours, mesurant que ses 78 ans étaient un réel obstacle. Il laisse ainsi son mandat à Franck Menonville (divers droite), 44 ans, agriculteur, président de la Safer Grand-Est et cofondateur, avec M. Namy, du Parti radical en Meuse. La gauche n’était représentée que par Jean-François Thomas (PS), ex-secrétaire départemental, qui réalise moins de 15 % des voix. (le monde)
A gauche, l’ex-secrétaire d’Etat aux anciens combattants, le socialiste Jean-Marc Todeschini, sauve son fauteuil, mais sa liste perd un siège en route. Conduite par Bernard Guirkinger, cadre de la Lyonnaise des eaux à la retraite, la liste La Republique en Marche échoue avec 242 voix. La liste FN fait chou blanc avec 110 voix.
En Meurthe-et-Moselle : la droite a gagné son pari. La liste d’union de la droite et du centre conduite par Jean-François Husson fait passer trois sénateurs : ce dernier est réélu, ainsi que Philippe Nachbar, et Véronique Guillotin, conseillère régionale du Pays-Haut, fait son entrée au Sénat. La droite rassemble 934 voix sur 1 943 suffrages exprimés. Le PS sauve l’honneur, grâce à Olivier Jacquin, qui succède à Daniel Reiner, avec 452 suffrages.
La gauche perd un siège – celui de la sénatrice communiste Evelyne Didier, qui ne se représentait pas – et fait les frais de sa désunion et de son incapacité à s’entendre sur une liste unique. LRM arrive assez loin avec 176 voix, quand le FN obtient 43 voix.
En Meuse : ballottage pour les deux sénateurs sortants, Gérard Longuet (LR), avec 47,79 %, à 19 voix d’être élu dès le premier tour, et Christian Namy (divers droite) qui, avec 33,37 %, arrive troisième derrière Claude Léonard (LR), président du conseil départemental. Le doublé LR, envisageable à l’issue du premier tour, ne s’est finalement pas réalisé.
Gérard Longuet est bien réélu, mais Claude Léonard échoue, battu par la stratégie de Christian Namy, qui s’est retiré de la course entre les deux tours, mesurant que ses 78 ans étaient un réel obstacle. Il laisse ainsi son mandat à Franck Menonville (divers droite), 44 ans, agriculteur, président de la Safer Grand-Est et cofondateur, avec M. Namy, du Parti radical en Meuse. La gauche n’était représentée que par Jean-François Thomas (PS), ex-secrétaire départemental, qui réalise moins de 15 % des voix. (le monde)