Publié le 06/05/2019 à 04:24
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Les représentants de la France, du Canada, de l'Allemagne, des Etats-Unis, de l'Italie, du Japon et du Royaume-Uni ont jusqu'à cet après-midi pour adopter une charte sur la biodiversité, en dépit de désaccords avec les Etats-Unis sur le climat. Ils sont rejoints par des délégations du Mexique, du Chili (qui accueillera la COP25 climat fin 2019), du Niger, du Gabon, d'Egypte, d'Inde, d'Indonésie, des îles Fidji, de la Norvège et de l'Union européenne.
Parallèlement à cette rencontre, la version finale d'un vaste rapport sur la situation mondiale des écosystèmes doit être rendue aujourd'hui. Jusqu'à un million d'espèces seraient à ce jour en danger, selon une première version de ce texte.
Le ministre de l'écologie, François de Rugy, a rappelé que les meilleurs moyens seront développés pour rehausser la place accordée à la biodiversité sur la scène internationale et pour aboutir à un résultat ambitieux à la COP15 prévue en Chine fin 2020.
Les associations appellent à l'action
Pour de nombreuses associations, les manques sont criants, aussi bien en matière de lutte contre le changement climatique que de protection de la biodiversité. Les membres du G7 font partie des pays "les plus riches, les plus développés, mais aussi les plus pollueurs de la planète", rappelle Réseau action climat. "Ils ont donc la responsabilité d'agir pour enrayer cette crise".
Dimanche midi, une cinquantaine de membres d'un "Alter G7 Metz" ont mimé "une scène de catastrophe naturelle" pour appeler à l'action. La veille, plusieurs milliers de personnes, parmi lesquelles de nombreux gilets jaunes, ont également participé à une "marche mondiale pour une justice écologique et sociale", répondant à l'appel d'une quarantaine d'associations environnementales et citoyennes.
Parallèlement à cette rencontre, la version finale d'un vaste rapport sur la situation mondiale des écosystèmes doit être rendue aujourd'hui. Jusqu'à un million d'espèces seraient à ce jour en danger, selon une première version de ce texte.
Le ministre de l'écologie, François de Rugy, a rappelé que les meilleurs moyens seront développés pour rehausser la place accordée à la biodiversité sur la scène internationale et pour aboutir à un résultat ambitieux à la COP15 prévue en Chine fin 2020.
Les associations appellent à l'action
Pour de nombreuses associations, les manques sont criants, aussi bien en matière de lutte contre le changement climatique que de protection de la biodiversité. Les membres du G7 font partie des pays "les plus riches, les plus développés, mais aussi les plus pollueurs de la planète", rappelle Réseau action climat. "Ils ont donc la responsabilité d'agir pour enrayer cette crise".
Dimanche midi, une cinquantaine de membres d'un "Alter G7 Metz" ont mimé "une scène de catastrophe naturelle" pour appeler à l'action. La veille, plusieurs milliers de personnes, parmi lesquelles de nombreux gilets jaunes, ont également participé à une "marche mondiale pour une justice écologique et sociale", répondant à l'appel d'une quarantaine d'associations environnementales et citoyennes.