Publié le 13/01/2017 à 14:52
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Suite à des images choquantes révélées par l'association L214, un plan gouvernemental en faveur du bien-être animal avait été annoncé. Les députés ont amené ce sujet au cœur d'une commission d'enquête qui a abouti à une proposition de loi par Olivier Falorni (DVG) et son groupe de radicaux de gauche.
C'est donc à partir du 1er janvier 2018 que des caméras seront mise en place dans les lieux d’abatage et de mise à mort des animaux comme la stipule la disposition adoptée, qui est soutenue par les socialistes en place au gouvernement. Une première phase d'expérimentation aura d'abord lieu et permettra d'évaluer l'opportunité et les conditions de la mise en place des caméras. Pour autant il n'est pas certain que la proposition de loi soit définitivement adoptée d'ici à la fin de la législature dans environ 6 semaines. Les directions des abattoirs n'auront pas accès aux enregistrements contrairement aux responsables de protection animale nommés dans les établissements.
C'est donc à partir du 1er janvier 2018 que des caméras seront mise en place dans les lieux d’abatage et de mise à mort des animaux comme la stipule la disposition adoptée, qui est soutenue par les socialistes en place au gouvernement. Une première phase d'expérimentation aura d'abord lieu et permettra d'évaluer l'opportunité et les conditions de la mise en place des caméras. Pour autant il n'est pas certain que la proposition de loi soit définitivement adoptée d'ici à la fin de la législature dans environ 6 semaines. Les directions des abattoirs n'auront pas accès aux enregistrements contrairement aux responsables de protection animale nommés dans les établissements.