Publié le 01/12/2016 à 19:45
Temps de lecture : 5
min
François Hollande, la mine grave, s'est exprimé en direct à la télévision.
Il a tout d'abord évoqué les différentes réformes qu'il a mis en place depuis 2012 en reconnaissant quelques échecs.
Ses sympathisants de 2012 lui reprochent de ne pas avoir respecté ses promesses de campagne !
Portant il mentionne les réformes qu'il a engagé :
"L'engagement majeur que j'ai pris devant vous était de faire baisser le chômage. Les résultats arrivent plus tard que je ne les avais annoncés, j'en conviens, mais ils sont là".
"Depuis mon élection j'ai agi avec les gouvernements de Jean-Marc Ayrault et de Manuel Valls pour redresser la France et la rendre plus juste. Aujourd'hui, au moment où je m'exprime, les comptes publics sont assainis, la Sécurité sociale est à l'équilibre et la dette du pays a été préservée"
Il cite également l'abaissent de l'âge de la retraite à 60 ans pour les longues carrières et l'instauration d'une mutuelle obligatoire pour les salariés et la signature de l'accord mondial sur le climat lors de la COP21 à Paris et le non cumul des mandats.."
L'un de ses plus gros échec aura été de ne pas inverser la courbe du chômage alors qu'il affirmait début 2013 que cette courbe s'inverserait avant la fin de cette même année 2013 ! Pourtant le chômage a augmenté chaque année.
Mais conscient de son impopularité et de son incapacité à rassembler la gauche, il a terminé son discours en annonçant qu'il ne se représenterait pas à l'éléction présidentielle de 2017. « Je ne peux me résoudre à la dispersion de la gauche, à son éclatement. Pour ma part, je ne suis animé que par l’intérêt supérieur du pays. Le pays, depuis plus de quatre ans et demi, je l’ai servi avec honnêteté. Aujourd’hui je suis conscient des risques que ferait courir une démarche, la mienne, qui ne rassemblerait pas largement autour d’elle. »
Ainsi il met fin à toutes les spéculations qui fusaient sur tous les médias et les réseaux sociaux, laissant de ce fait la porte large ouverte à son 1er ministre Emmanuel VALLS pour la primaire du parti socialiste.
Nous aurons droit, bien sûr, aux "félicitations" d'hommes poltiques qui vont saluer le courage de sa décision, mais derrière tous cela le bal des "égos" et des ambitions personnelles est désormais ouvert et les amis d'hier vont devenir ses "meilleurs ennemis"
Ainsi va la vie des personnalités politiques !
A notre connaissance les autres candidats sont les suivants :
Il a tout d'abord évoqué les différentes réformes qu'il a mis en place depuis 2012 en reconnaissant quelques échecs.
Ses sympathisants de 2012 lui reprochent de ne pas avoir respecté ses promesses de campagne !
Portant il mentionne les réformes qu'il a engagé :
"L'engagement majeur que j'ai pris devant vous était de faire baisser le chômage. Les résultats arrivent plus tard que je ne les avais annoncés, j'en conviens, mais ils sont là".
"Depuis mon élection j'ai agi avec les gouvernements de Jean-Marc Ayrault et de Manuel Valls pour redresser la France et la rendre plus juste. Aujourd'hui, au moment où je m'exprime, les comptes publics sont assainis, la Sécurité sociale est à l'équilibre et la dette du pays a été préservée"
Il cite également l'abaissent de l'âge de la retraite à 60 ans pour les longues carrières et l'instauration d'une mutuelle obligatoire pour les salariés et la signature de l'accord mondial sur le climat lors de la COP21 à Paris et le non cumul des mandats.."
L'un de ses plus gros échec aura été de ne pas inverser la courbe du chômage alors qu'il affirmait début 2013 que cette courbe s'inverserait avant la fin de cette même année 2013 ! Pourtant le chômage a augmenté chaque année.
Mais conscient de son impopularité et de son incapacité à rassembler la gauche, il a terminé son discours en annonçant qu'il ne se représenterait pas à l'éléction présidentielle de 2017. « Je ne peux me résoudre à la dispersion de la gauche, à son éclatement. Pour ma part, je ne suis animé que par l’intérêt supérieur du pays. Le pays, depuis plus de quatre ans et demi, je l’ai servi avec honnêteté. Aujourd’hui je suis conscient des risques que ferait courir une démarche, la mienne, qui ne rassemblerait pas largement autour d’elle. »
Ainsi il met fin à toutes les spéculations qui fusaient sur tous les médias et les réseaux sociaux, laissant de ce fait la porte large ouverte à son 1er ministre Emmanuel VALLS pour la primaire du parti socialiste.
Nous aurons droit, bien sûr, aux "félicitations" d'hommes poltiques qui vont saluer le courage de sa décision, mais derrière tous cela le bal des "égos" et des ambitions personnelles est désormais ouvert et les amis d'hier vont devenir ses "meilleurs ennemis"
Ainsi va la vie des personnalités politiques !
Pour le moment, les candidats à la primaire de la gauche déclarés sont :
- Arnaud Montebourg (PS)
- Marie-Noëlle Lienemann (PS)
- Benoît Hamon (PS)
- Gérard Filoche (PS)
- Jean-Luc Bennahmias (Front démocrate)
- Pierre Larrouturou (Nouvelle Donne)
-
François de Rugy (Ecologistes)
- Jean luc Melenchon "La déclaration de@fhollande est un énorme aveu d'échec."
- Nathalie Arthaud
- Philippe Poutou
- Sylvia Pinel
- Yannick Jadot "Une non candidature conclut un quinquennat gâché, le triste bal des anciens ministres candidats va commencer, et la France dans tout ça ?"
- Emmanuel Macron "@EmmanuelMacron "La décision de @fhollande est une décision courageuse et une décision digne"
