Publié le 14/02/2019 à 04:27
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Le sénateur Mosellan, est notamment ciblé pour « prise illégale d’intérêts » et « détournements de fonds publics » selon le Républicain Lorrain. Cette mise en examen intervient dans le cadre de l’affaire « dite » de la réserve parlementaire de François Grosdidier.
Une plainte avait été déposée en 2013 par l'adversaire du sénateur au cantonales. Ce dernier, battu, avait alors assuré que l'ex-maire de Woippy avait tapé dans les caisses par deux fois pour des montants estimés entre 50 et 100 000 euros.
A l'époque, Grosdidier, certifiait que ces fonds utilisés, servaient à subventionner une association qu’il présidait. Pour le plaignant, cette association aurait servi de relais à François Grosdidier pour sa promotion personnelle et ses campagnes électorales. Cette instruction s’était finalement soldée par un non-lieu, confirmé en juin 2017 par la chambre de l’instruction de Metz. Une situation qui s'est donc retournée à la cour d'appel de Nancy en ce début 2019.
Le sénateur mosellan qui avait d'abord bénéficié d’un non-lieu, devra donc se justifier. Mais aujourd'hui, face à cela, il se dit serein et de bonne foi.
Une plainte avait été déposée en 2013 par l'adversaire du sénateur au cantonales. Ce dernier, battu, avait alors assuré que l'ex-maire de Woippy avait tapé dans les caisses par deux fois pour des montants estimés entre 50 et 100 000 euros.
A l'époque, Grosdidier, certifiait que ces fonds utilisés, servaient à subventionner une association qu’il présidait. Pour le plaignant, cette association aurait servi de relais à François Grosdidier pour sa promotion personnelle et ses campagnes électorales. Cette instruction s’était finalement soldée par un non-lieu, confirmé en juin 2017 par la chambre de l’instruction de Metz. Une situation qui s'est donc retournée à la cour d'appel de Nancy en ce début 2019.
Le sénateur mosellan qui avait d'abord bénéficié d’un non-lieu, devra donc se justifier. Mais aujourd'hui, face à cela, il se dit serein et de bonne foi.