Publié le 16/01/2017 à 10:38
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Un débat un peu moins monotone qui le premier. Manuel Valls n'a cette fois pas échappé aux attaques des 6 autres candidats notamment sur la pratique du pouvoir. Ce sujet a donné lieu à des échanges musclés entre l'ex-Premier ministre et ses concurrents. Vincent Peillon y est allé de sa petite critique : « un président de gauche c'est d'abord un président qui va pouvoir rassembler la gauche et d'abord ses propres amis. Entre ceux qui ont théorisé deux gauches irréconciliables et ceux qui ont cassé des portes et brisé des fenêtres en étant restés plus longtemps que moi au gouvernement, il va falloir rassembler. » Autre sujet abordé, l'éducation où tous les candidats ont été unanimes pour en faire leur priorité dans le cadre de leur éventuelle campagne présidentielle, avec des propositions comme celle de Benoît Hamon qui propose des classes ne dépassant pas 25 élèves pour 20 en outre-mer.
Manuel Valls a également été très attaqué sur la gestion des migrants, lui reprochant sa politique menée sur ce thème. Ceux à quoi l'ex-premier ministre a répondu : « L'accueil illimité ça n'est pas possible » avant d'ajouter : « ce que j'ai dit, non seulement je l'assume mais je pense que la France a eu raison de mener cette politique, l'histoire nous a donné raison » .
Beaucoup d'autres points ont été abordés comme le cannabis, la question de l'Europe, la laïcité ou encore le cas Vladimir Poutine.
Selon un sondage ELABE pour BFM TV, les téléspectateurs ont été convaincus par Arnaud Montebourg à 29 %. Suivi de Manuel Valls avec 26% et de Benoit Hamon. En revanche, pour les sympathisants de gauche, c’est Benoit Hamont qui passe en tête avec 30% des suffrages. Manuel Valls arrive en 2e position avec 28%, suivi d’Arnaud Montebourg avec 24%.
Manuel Valls a également été très attaqué sur la gestion des migrants, lui reprochant sa politique menée sur ce thème. Ceux à quoi l'ex-premier ministre a répondu : « L'accueil illimité ça n'est pas possible » avant d'ajouter : « ce que j'ai dit, non seulement je l'assume mais je pense que la France a eu raison de mener cette politique, l'histoire nous a donné raison » .
Beaucoup d'autres points ont été abordés comme le cannabis, la question de l'Europe, la laïcité ou encore le cas Vladimir Poutine.
Selon un sondage ELABE pour BFM TV, les téléspectateurs ont été convaincus par Arnaud Montebourg à 29 %. Suivi de Manuel Valls avec 26% et de Benoit Hamon. En revanche, pour les sympathisants de gauche, c’est Benoit Hamont qui passe en tête avec 30% des suffrages. Manuel Valls arrive en 2e position avec 28%, suivi d’Arnaud Montebourg avec 24%.