Publié le 22/05/2013 à 22:00
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Convoquée jeudi devant la Cour de justice de la République, Christine Lagarde risque d'être mise en examen pour complicité de faux et détournement de fonds publics.
Motif ?
Le rôle joué par celle qui était alors ministre de l'Economie de Nicolas Sarkozy dans l'arbitrage entre Tapie et le Crédit Lyonnais : cette décision a permis à l'homme d'affaire de récupérer 403 millions d'euros en 2008 en réparation du préjudice subi lors du rachat d'Adidas par le Crédit Lyonnais.
Nommée en juillet 2011 à la tête du FMI, après la démission forcée de Dominique Strauss-Kahn, Christine Lagarde est visée par une enquête qui avait conduit à la perquisition de son domicile le 20 mars dernier.
Autre option : à l'issue de son audition, l'actuelle patronne du FMI pourrait obtenir le statut de témoin assisté, un cran en-dessous de la mise en examen.
Motif ?
Le rôle joué par celle qui était alors ministre de l'Economie de Nicolas Sarkozy dans l'arbitrage entre Tapie et le Crédit Lyonnais : cette décision a permis à l'homme d'affaire de récupérer 403 millions d'euros en 2008 en réparation du préjudice subi lors du rachat d'Adidas par le Crédit Lyonnais.
Nommée en juillet 2011 à la tête du FMI, après la démission forcée de Dominique Strauss-Kahn, Christine Lagarde est visée par une enquête qui avait conduit à la perquisition de son domicile le 20 mars dernier.
Autre option : à l'issue de son audition, l'actuelle patronne du FMI pourrait obtenir le statut de témoin assisté, un cran en-dessous de la mise en examen.