Publié le 05/05/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
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Ce 6 mai marque la première année de mandat de François Hollande.
L'heure est au bilan.
Avec des résultats globaux plutôt en deçà des attentes et une côte d'impopularité record, le Premier ministre Jean-Marc Ayraut se devait d'intervenir pour rassurer.
Invité du 20h de TF1 hier, il a assuré que son gouvernement maintenait le cap fixé par le chef de l'Etat.
Il a évoqué des décisions "sans précédent", qui porteront bientôt leurs fruits, à savoir le retournement de la courbe du chômage et envisage de réduire la participation de l'Etat dans les entreprises publiques.
Le Premier ministre a également dénoncé l'attitude de Jean-Luc Mélenchon qui a mené une manifestation de masse contre l’austérité, contre la finance et pour une VIe République, avec un rassemblement hier à paris de 30.000 et 180.000 personnes selon la police et les organisateurs.
Il a assuré que la politique Mélenchon "dite d'extrême gauche", est sans issue, sans lendemain.
Au rayon des promesses tenues, le rétablissement de la retraite à 60 ans à taux plein, le contrat de génération, les emplois d'avenir, le mariage pour tous et la création d'une Banque publique d'investissement.
L'heure est au bilan.
Avec des résultats globaux plutôt en deçà des attentes et une côte d'impopularité record, le Premier ministre Jean-Marc Ayraut se devait d'intervenir pour rassurer.
Invité du 20h de TF1 hier, il a assuré que son gouvernement maintenait le cap fixé par le chef de l'Etat.
Il a évoqué des décisions "sans précédent", qui porteront bientôt leurs fruits, à savoir le retournement de la courbe du chômage et envisage de réduire la participation de l'Etat dans les entreprises publiques.
Le Premier ministre a également dénoncé l'attitude de Jean-Luc Mélenchon qui a mené une manifestation de masse contre l’austérité, contre la finance et pour une VIe République, avec un rassemblement hier à paris de 30.000 et 180.000 personnes selon la police et les organisateurs.
Il a assuré que la politique Mélenchon "dite d'extrême gauche", est sans issue, sans lendemain.
Au rayon des promesses tenues, le rétablissement de la retraite à 60 ans à taux plein, le contrat de génération, les emplois d'avenir, le mariage pour tous et la création d'une Banque publique d'investissement.
