Publié le 22/01/2018 à 06:28
Temps de lecture : 3
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Plus de trente ans après l'enlèvement et le meurtre de Grégory Villemin dans les Vosges, Murielle Bolle continue de clamer son innocence, et celle de son cousin Bernard Laroche.
Des extraits de conversations téléphoniques entre Murielle Bolle et son compagnon qui datent du 18 juillet dernier sont sortir dans la dernière édition du JDD. Interrogée par son conjoint, qui ne lui a jamais posé de questions en 20 ans de vie commune, Murielle Bolle a nié en bloc son implication dans le meurtre du petit garçon. : « Quand je suis rentrée du collège, Bernard était là ». « J’te jure, j’étais pas avec Bernard ». « Faut te mettre à ma place. Moi je sais rien cocotte. Alors heu, je te pose des questions, j’veux savoir (…) Parce que ça peut plus durer ce truc-là. Ça va pas durer cinquante ans. Quand même ce pauvre gamin… », lui répond alors son compagnon.
« Mais c’est avec les gendarmes, ils m’ont fait le truc »
Murielle Bolle ne varie pas dans sa version des faits. « Mais c’est avec les gendarmes, ils m’ont fait le truc », « j’étais pas avec Bernard, il est pas venue me chercher. (…) J’ai pris le bus ce jour-là et pis ils veulent pas me croire », explique-t-elle. Murielle Bolle affirme avoir pris le bus ce jour-là, alors qu'en 1984, elle a expliqué à trois reprises être dans la voiture de Bernard Laroche, avec Grégory Villemin à l'arrière, le jour du meurtre. Un témoignage qu'elle rétractera en novembre 1984.
Au sujet du cousin qui affirme avoir recueilli ses confidences après ses accusations contre Bernard Laroche, Murielle Bolle n’arrive pas à cacher son énervement : « Je suis dans une colère, tu peux pas savoir », lâche-t-elle à son compagnon.
Retour dans la vallée de la Vologne ?
La suspecte, exilée dans la Nièvre, et soumise à un contrôle judiciaire très strict, saura aujourd'hui si elle peut revenir dans la vallée de la Vologne, près de son conjoint et de son fils.
Des extraits de conversations téléphoniques entre Murielle Bolle et son compagnon qui datent du 18 juillet dernier sont sortir dans la dernière édition du JDD. Interrogée par son conjoint, qui ne lui a jamais posé de questions en 20 ans de vie commune, Murielle Bolle a nié en bloc son implication dans le meurtre du petit garçon. : « Quand je suis rentrée du collège, Bernard était là ». « J’te jure, j’étais pas avec Bernard ». « Faut te mettre à ma place. Moi je sais rien cocotte. Alors heu, je te pose des questions, j’veux savoir (…) Parce que ça peut plus durer ce truc-là. Ça va pas durer cinquante ans. Quand même ce pauvre gamin… », lui répond alors son compagnon.
« Mais c’est avec les gendarmes, ils m’ont fait le truc »
Murielle Bolle ne varie pas dans sa version des faits. « Mais c’est avec les gendarmes, ils m’ont fait le truc », « j’étais pas avec Bernard, il est pas venue me chercher. (…) J’ai pris le bus ce jour-là et pis ils veulent pas me croire », explique-t-elle. Murielle Bolle affirme avoir pris le bus ce jour-là, alors qu'en 1984, elle a expliqué à trois reprises être dans la voiture de Bernard Laroche, avec Grégory Villemin à l'arrière, le jour du meurtre. Un témoignage qu'elle rétractera en novembre 1984.
Au sujet du cousin qui affirme avoir recueilli ses confidences après ses accusations contre Bernard Laroche, Murielle Bolle n’arrive pas à cacher son énervement : « Je suis dans une colère, tu peux pas savoir », lâche-t-elle à son compagnon.
Retour dans la vallée de la Vologne ?
La suspecte, exilée dans la Nièvre, et soumise à un contrôle judiciaire très strict, saura aujourd'hui si elle peut revenir dans la vallée de la Vologne, près de son conjoint et de son fils.