Publié le 15/04/2013 à 22:00
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Une avancée décisive dans l’affaire du petit Grégory.
Dix profils ADN auraient été isolés sur les cordelettes ayant servi à entraver l’enfant vosgien de 4 ans, découvert mort dans la Vologne le 16 octobre 1984.
Des extractions chimiques d’ADN et microdissection au laser ont été effectuées sur l'Anorak, le pantalon, le bonnet, les chaussettes et les chaussures ont été repassés au crible.
L'avocat des époux Villemin, Me Thierry Moser veut y croire. « Nous attendons les résultats avec impatience et espoir ».
Il s'est fait plus précis : « Si on retrouve l’ADN de Bernard Laroche, soupçonné et abattu par le père de Grégory, ou de Muriel Bolle, la belle-sœur de Bernard Laroche qui l’accusait également avant de se rétracter, ce serait formidable. »
L'avocat des époux Villemin, Me Thierry Moser veut y croire. « Nous attendons les résultats avec impatience et espoir ».
Il s'est fait plus précis : « Si on retrouve l’ADN de Bernard Laroche, soupçonné et abattu par le père de Grégory, ou de Muriel Bolle, la belle-sœur de Bernard Laroche qui l’accusait également avant de se rétracter, ce serait formidable. »
Reste désormais à identifier les nouveaux éléments vingt-neuf ans après les faits.