Publié le 25/12/2013 à 23:00
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Un homme au volant d’une voiture a volontairement percuté ce matin vers 10h30 une grille du palais de l’Elysée, résidence du président de la République, dans le 8e arrondissement à Paris.
Selon Le Parisien, L’automobiliste, qui a foncé sur la grille du Coq, serait un directeur de théâtre.
Il aurait agi pour protester contre la baisse des subventions en matière de culture.
Blessé au cours du choc, l’auteur des faits a été rapidement secouru. Un liquide inflammable aurait été retrouvé à l'intérieur du véhicule qui serait déclaré volé.
L'homme avait été interpellé une première fois mercredi peu avant 17 heures aux abords de l'Elysée. Non loin de l'hôtel Marigny, il avait sorti de sa voiture «un mannequin Arlequin auquel il avait mis le feu après l'avoir aspergé de white spirit», selon une source policière.
Il a été placé en garde à vue pour « dégradation d'un bien d'utilité publique», «mise en danger de la vie d'autrui» et «violences volontaires avec arme à l'encontre d'une personne dépositaire de l'autorité publique».
Des investigations sont en cours, notamment sur les réelles motivations et l'état de santé mental de cet homme.
Il devrait subir un examen de comportement afin de vérifier la compatibilité entre son état mental et le régime de garde à vue, selon la source judiciaire.
Selon Le Parisien, L’automobiliste, qui a foncé sur la grille du Coq, serait un directeur de théâtre.
Il aurait agi pour protester contre la baisse des subventions en matière de culture.
Blessé au cours du choc, l’auteur des faits a été rapidement secouru. Un liquide inflammable aurait été retrouvé à l'intérieur du véhicule qui serait déclaré volé.
L'homme avait été interpellé une première fois mercredi peu avant 17 heures aux abords de l'Elysée. Non loin de l'hôtel Marigny, il avait sorti de sa voiture «un mannequin Arlequin auquel il avait mis le feu après l'avoir aspergé de white spirit», selon une source policière.
Il a été placé en garde à vue pour « dégradation d'un bien d'utilité publique», «mise en danger de la vie d'autrui» et «violences volontaires avec arme à l'encontre d'une personne dépositaire de l'autorité publique».
Des investigations sont en cours, notamment sur les réelles motivations et l'état de santé mental de cet homme.
Il devrait subir un examen de comportement afin de vérifier la compatibilité entre son état mental et le régime de garde à vue, selon la source judiciaire.
