Publié le 30/09/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
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Relaxe pour l'ancien directeur de la prison de Nancy Stéphane Scotto.
Il comparaissait devant le tribunal correctionnel de Nancy pour homicide involontaire après le meurtre en 2004 d'un détenu par son compagnon de cellule.
Le tribunal a ainsi suivi la réquisition du parquet, qui avait demandé la relaxe de Stéphane Scotto le 13 septembre à l'issue de l'audience.
Pour rappel, Johnny Agasucci, 26 ans, se trouvait en détention provisoire quand il a été été violemment agressé par un de ses deux compagnons de cellule.
Le tribunal a estimé qu'il n'y avait pas de faute caractérisée de la part de l'ex directeur de la prison de Nancy,
L'avocat des frères de la victime a annoncé qu'ils allaient faire appel de la décision.
A noter que c'est la première fois en France qu'un chef d'établissement pénitentiaire était jugé devant un tribunal correctionnel pour homicide involontaire.
Deux directeurs de prison avaient déjà été mis en examen pour ce même motif à la suite de suicides de détenus dans les années 2000, mais ils avaient bénéficié de non-lieux.
Il comparaissait devant le tribunal correctionnel de Nancy pour homicide involontaire après le meurtre en 2004 d'un détenu par son compagnon de cellule.
Le tribunal a ainsi suivi la réquisition du parquet, qui avait demandé la relaxe de Stéphane Scotto le 13 septembre à l'issue de l'audience.
Pour rappel, Johnny Agasucci, 26 ans, se trouvait en détention provisoire quand il a été été violemment agressé par un de ses deux compagnons de cellule.
Le tribunal a estimé qu'il n'y avait pas de faute caractérisée de la part de l'ex directeur de la prison de Nancy,
L'avocat des frères de la victime a annoncé qu'ils allaient faire appel de la décision.
A noter que c'est la première fois en France qu'un chef d'établissement pénitentiaire était jugé devant un tribunal correctionnel pour homicide involontaire.
Deux directeurs de prison avaient déjà été mis en examen pour ce même motif à la suite de suicides de détenus dans les années 2000, mais ils avaient bénéficié de non-lieux.