Publié le 28/05/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
min

Fin de cavale pour Redoine Faid.
Le braqueur récidiviste, évadé le 13 avril de la maison d'arrêt de Séquedin dans le Nord, a été interpelé cette nuit vers 3heures du matin dans un hôtel de Pontaut-Combault, où il résidait depuis quelques jours en compagnie d'un complice de cavale, selon le ministère de l'intérieur.
Selon les dernières précisions, une arme aurait été saisie.
Pour rappel, l'homme le plus recherché de France faisait état d'un mandat d’arrêt international.
Il s'était évadé faisant sauter plusieurs portes de la maison d'arrêt de Séquedin, prenant en otage 4 surveillants.
Redoine Faid était détenu après une tentative d'attaque à main armée qui avait coûté la vie à une jeune policière de 26 ans en mai 2010 à Villiers-sur-Marne.
Dans un communiqué, Manuel Valls, le ministre de l'intérieur «félicite chaleureusement les enquêteurs de la direction centrale de la police judiciaire pour l'enquête minutieuse et efficace qu'ils ont bouclée en moins de six semaines, sous la direction de l'autorité judiciaire».
Le braqueur récidiviste, évadé le 13 avril de la maison d'arrêt de Séquedin dans le Nord, a été interpelé cette nuit vers 3heures du matin dans un hôtel de Pontaut-Combault, où il résidait depuis quelques jours en compagnie d'un complice de cavale, selon le ministère de l'intérieur.
Selon les dernières précisions, une arme aurait été saisie.
Pour rappel, l'homme le plus recherché de France faisait état d'un mandat d’arrêt international.
Il s'était évadé faisant sauter plusieurs portes de la maison d'arrêt de Séquedin, prenant en otage 4 surveillants.
Redoine Faid était détenu après une tentative d'attaque à main armée qui avait coûté la vie à une jeune policière de 26 ans en mai 2010 à Villiers-sur-Marne.
Dans un communiqué, Manuel Valls, le ministre de l'intérieur «félicite chaleureusement les enquêteurs de la direction centrale de la police judiciaire pour l'enquête minutieuse et efficace qu'ils ont bouclée en moins de six semaines, sous la direction de l'autorité judiciaire».