Publié le 07/11/2018 à 05:58
Temps de lecture : 2
min
Les élus dénocenent une fausse information quand à la dégradation d'un centre d’hébergement saccagé par des migrants.
Tout est parti d'une publication Facebook d'Anthony Bellorini, chargé de mission de Génération nation en Meurthe-et-Moselle, annexe du parti d’extrême-droite. Ce dernier accusait des migrants d'avoir saccagé un centre d'hébergement à Neuves-Maisons en Meurthe-et-Moselle. La communauté de communes assure qu'il n'en est rien. L’auteur a, depuis, effacé son post partagé plus de 5 000 fois en quelques jours.
Le Directeur des Services de la communauté de communes a pu préciser à nos confrères d'Actu.fr que en avril, le site a été libéré. Puis le Département a été sollicité pour accueillir des mineurs. La partie hôtellerie a donc été occupé jusqu’en août 2018. Une fois cette date passée, il n’y avait plus personne. Le DGS a affirmé aussi que lors du départ des migrants mineurs, les gendarmes ont procédé à des constatations et n’ont relevé aucune dégradation.
Tout est parti d'une publication Facebook d'Anthony Bellorini, chargé de mission de Génération nation en Meurthe-et-Moselle, annexe du parti d’extrême-droite. Ce dernier accusait des migrants d'avoir saccagé un centre d'hébergement à Neuves-Maisons en Meurthe-et-Moselle. La communauté de communes assure qu'il n'en est rien. L’auteur a, depuis, effacé son post partagé plus de 5 000 fois en quelques jours.
Le Directeur des Services de la communauté de communes a pu préciser à nos confrères d'Actu.fr que en avril, le site a été libéré. Puis le Département a été sollicité pour accueillir des mineurs. La partie hôtellerie a donc été occupé jusqu’en août 2018. Une fois cette date passée, il n’y avait plus personne. Le DGS a affirmé aussi que lors du départ des migrants mineurs, les gendarmes ont procédé à des constatations et n’ont relevé aucune dégradation.
