
10 ans après le meurtre d'Agnès Grégoire, cette dame de 71 ans, tuée à l'arme blanche, à son domicile de Metz-Queuleu, 2 personnes ont été mises en examen et placés en détention provisoire pour meurtre aggravé et vol.
Selon les derniers éléments, il s'agit d'une femme et d'un homme, respectivement âgés de 27 et 29 ans. La jeune femme a été interpellé en région toulousaine et a été remontée à Metz pour être présenté à la justice. L'homme de son côté, a été cueilli en Lorraine.
Deux suspects confondus par l'ADN
Les enquêteurs ont retrouvé des traces d'ADN sur les vêtements de la victime, ce qui a permis de remonter jusqu'au deux suspects. A l'heure actuelle, impossible de savoir s'il s'agit de deux ADN ou un seul.
Des suspects qui nient être à l'origine de la mort de la septuagénaire
En attendant, on y voit plus clair sur l'identité des deux suspects. Ils habitaient Metz à l'époque des faits. Si l'homme de 29 ans, reconnait sa présence dans la maison de la septuagénaire, il conteste être à l'origine de sa mort. La jeune femme, mineure de 17 ans en 2012, nie complètement son implication dans cette affaire.
Aucune trace d'effraction
Le 13 février 2012, Agnès Grégoire avait été retrouvée morte à son domicile, étranglée puis tuée par arme blanche. Elle avait un foulard serré autour du cou.
Une paire de ciseaux ensanglantée sera retrouvée près du corps de la septuagénaire. Sur place, les enquêteurs ne trouveront aucune trace d'effraction, mais des objets de la victime ont bien été volés, contrairement aux premiers éléments relevés dans cette enquête.
Aujourd'hui, reste à savoir, pourquoi un tel crime a eu lieu et quels étaient les liens entre la victime et ses agresseurs. L'enquête se poursuit.