
Ils étaient entre 4 000 et 10 000 personnes (respectivement selon la police et les organisateurs), a avoir bravé l'interdiction de manifester décidée par la préfecture en raison de risques de troubles à l'ordre public.
Bilan : des jets de projectiles, des drapeaux israéliens brûlés et des crois gammés taguées sur la pierre du monument de la République
Les forces de l'ordre, qui avaient pour consigne d'intervenir très rapidement, notamment en cas de slogan ou de manifestation antisémite ont interpellé 65 personnes.
Quarante-et-une personnes, dont un mineur, soupçonnées de "violences volontaires aggravées", avec arme ou en réunion, sur les forces de l'ordre et "rébellion", étaient en garde à vue hier matin.
Parmi les 41 gardées à vue, 21 personnes, soit la moitié, ont été relâchées sans poursuites.
Deux personnes feront l'objet d'un rappel à la loi.
Sept devaient être déférées au parquet, deux en vue de comparutions immédiates et cinq qui seront jugées ultérieurement.