Publié le 27/11/2013 à 23:00
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L'évadé de Nantes est Lorrain. il s'appelle Stéphane Goetz, un homme de 27 ans originaire de Nancy.
Hier ce détenu condamné pour tentative d'assassinat s'est fait la belle en blessant 3 surveillants pénitentiaires à coup de cutter.
Il avait demandé un transfert vers un centre hospitalier pour soigner sa cheville.
C'est la qu'il a agressé les trois hommes au visage, aux mains et aux jambes avant de prendre la fuite. Lesq trois hommes ont été hospitalisés.
Goetz a tenté de prendre le véhicule d'un automobiliste avant de fuir à bord d'un scooter, aidé certainement par un complice.
Environ 80 agents, venus de Nantes mais aussi de Rennes à l'appel de la CGT, l'Ufap et FO, ont bloqué ce matin les accès au centre pénitentiaire à partir de 6 heures à l'aide d'un important barrage de pneus et de palettes.
Ce blocage, réalisé par des agents pénitentiaires qui n'étaient pas en service du fait qu'ils n'ont pas le droit de grève, répondait à un appel commun lancé mercredi soir par les syndicats.
Ceux-ci demandent une "révision totale des niveaux d'escorte établis pour chaque détenu du Centre Pénitentiaire de Nantes" ainsi que le "maintien des fouilles intégrales systématiques".
Hier ce détenu condamné pour tentative d'assassinat s'est fait la belle en blessant 3 surveillants pénitentiaires à coup de cutter.
Il avait demandé un transfert vers un centre hospitalier pour soigner sa cheville.
C'est la qu'il a agressé les trois hommes au visage, aux mains et aux jambes avant de prendre la fuite. Lesq trois hommes ont été hospitalisés.
Goetz a tenté de prendre le véhicule d'un automobiliste avant de fuir à bord d'un scooter, aidé certainement par un complice.
Environ 80 agents, venus de Nantes mais aussi de Rennes à l'appel de la CGT, l'Ufap et FO, ont bloqué ce matin les accès au centre pénitentiaire à partir de 6 heures à l'aide d'un important barrage de pneus et de palettes.
Ce blocage, réalisé par des agents pénitentiaires qui n'étaient pas en service du fait qu'ils n'ont pas le droit de grève, répondait à un appel commun lancé mercredi soir par les syndicats.
Ceux-ci demandent une "révision totale des niveaux d'escorte établis pour chaque détenu du Centre Pénitentiaire de Nantes" ainsi que le "maintien des fouilles intégrales systématiques".