Publié le 16/05/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
min
Le jour d'après à l'école maternelle de la Rochefoucauld dans le 7ème arrondissement de Paris.
Hier un homme de 50 ans s'est suicidé en se tirant une balle de fusil dans la tête à l'entrée de l'école devant une trentaine d'élèves.
Selon l'ex-femme de cet homme de 50 ans, réputé violent envers cette dernière et ses enfants, sa santé mentale était plus que fragile.
Il était dépressif depuis plusieurs années.
Il aurait choisit cet établissement scolaire catholique pour se suicider car il trouvait ce lieu symbolique. L'homme ayant habité le quartier pendant plus de 20 ans.
C'est ici selon son ex-femme qu'il aurait voulu scolariser ses enfants par le passé. Des enfants qu'il n'a jamais jugé assez performants pour intégrer l'établissement.
Vincent Peillon, le ministre de l’Éducation, a écourté un déplacement à Bruxelles afin de se rendre sur les lieux du drame. Il a estimé que "la question de la sécurité à l'école n'est pas en cause" dans cette affaire.
Hier un homme de 50 ans s'est suicidé en se tirant une balle de fusil dans la tête à l'entrée de l'école devant une trentaine d'élèves.
Selon l'ex-femme de cet homme de 50 ans, réputé violent envers cette dernière et ses enfants, sa santé mentale était plus que fragile.
Il était dépressif depuis plusieurs années.
Il aurait choisit cet établissement scolaire catholique pour se suicider car il trouvait ce lieu symbolique. L'homme ayant habité le quartier pendant plus de 20 ans.
C'est ici selon son ex-femme qu'il aurait voulu scolariser ses enfants par le passé. Des enfants qu'il n'a jamais jugé assez performants pour intégrer l'établissement.
Vincent Peillon, le ministre de l’Éducation, a écourté un déplacement à Bruxelles afin de se rendre sur les lieux du drame. Il a estimé que "la question de la sécurité à l'école n'est pas en cause" dans cette affaire.