Publié le 19/09/2018 à 03:51
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Les autorités prudentes en Grande-Région face à la peste porcine.
La Belgique gèle les forêts (63 000 ha) autour de la zone frontalière où des sangliers, morts de la peste porcine africaine, ont été découverts. L’objectif est avant tout de contenir la maladie et d’éviter qu’un sanglier vagabond ne franchisse la frontière. Le virus est très contagieux et virulent. Il suffit d’un contact, une fois, pour le propager.
En Lorraine notamment. Au nord de la Meurthe-et-Moselle, une cinquantaine de communes sont déjà ciblées par deux arrêtés préfectoraux, qui ont, notamment, suspendu la chasse dans leur périmètre. Selon des experts de l'union européenne, l’origine de la contamination pourrait se trouver dans les restes d’un repas abandonné en foret ou en lisière par quelqu’un venu d’un pays de l’Est contaminé.
Face à ces risques de contamination, le Luxembourg met aussi en garde. Une zone de surveillance a été mise en place dans les secteurs sensibles, à l’ouest du pays. Elle a été délimitée par l’A6 au nord, l’A4 à l’est, ainsi que par les frontières. Dans cet espace, la chasse reste ouverte et des spécialistes vont arpenter les forêts pour tenter de retrouver d’éventuels cadavres de sangliers.
La Belgique gèle les forêts (63 000 ha) autour de la zone frontalière où des sangliers, morts de la peste porcine africaine, ont été découverts. L’objectif est avant tout de contenir la maladie et d’éviter qu’un sanglier vagabond ne franchisse la frontière. Le virus est très contagieux et virulent. Il suffit d’un contact, une fois, pour le propager.
En Lorraine notamment. Au nord de la Meurthe-et-Moselle, une cinquantaine de communes sont déjà ciblées par deux arrêtés préfectoraux, qui ont, notamment, suspendu la chasse dans leur périmètre. Selon des experts de l'union européenne, l’origine de la contamination pourrait se trouver dans les restes d’un repas abandonné en foret ou en lisière par quelqu’un venu d’un pays de l’Est contaminé.
Face à ces risques de contamination, le Luxembourg met aussi en garde. Une zone de surveillance a été mise en place dans les secteurs sensibles, à l’ouest du pays. Elle a été délimitée par l’A6 au nord, l’A4 à l’est, ainsi que par les frontières. Dans cet espace, la chasse reste ouverte et des spécialistes vont arpenter les forêts pour tenter de retrouver d’éventuels cadavres de sangliers.
