Publié le 05/09/2013 à 22:00
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26 ans après la mort de Nelly Haderer une jeune mère de famille, retrouvée dénudée et découpée en morceaux et tuée de deux balles de carabine 22 long rifle dans une décharge, à Rosières-aux-Salines, près de Nancy, l'affaire va peut-être prendre un nouveau tournant.
L'avocat de la famille de la victime Me Pierre-André Babel du barreau d’Épinal réclame de nouvelles expertises ADN.
L’avocat réclame aussi une comparaison avec le profil génétique des 17 suspects recensés par les policiers à l’issue de la première enquête.
Parmi eux figure Jacques Maire, soupçonné du crime puis acquitté en 2008 mais aussi le routard du crime Francis Heaulme dont l’ADN intéresse la famille Haderer.
Pour rappel, une première enquête s'était terminée en 1994 sur un non-lieu. Plusieurs suspects ont été dans le collimateur des policiers mais aucune charge déterminante n’avaient pu être retenue contre l’un d’entre eux.
Deux ans plus tard, le dossier est de nouveau ouvert avec dans le collimateur un homme Jacques Maire, mais faute de preuve et après trois procès d’assises, il sera acquitté en 2008.
Le troisième volet de cette affaires toujours en cours s'est ouvert en 2009 après suite aux réclamations de Maître Pierre-André Babel, pour de nouvelles expertises ADN.
Le laboratoire médico-légal de Bordeaux avait alors entrepris d'analyser plusieurs traces d'ADN retrouvées sur les vêtements de la jeune femme : du sang sur le jean a révélé un profil génétique masculin, un autre a été découvert dans du sperme sur la culotte de la victime même s'il pourrait s'agir de celui de son compagnon d'alors, selon une source proche du dossier.
Le manteau de Nelly Haderer portait également une trace partielle d'ADN féminin et un mélange de profils masculin et féminin, différent des autres traces retrouvées, a été relevé sur le jean.
L'avocat de la famille de la victime Me Pierre-André Babel du barreau d’Épinal réclame de nouvelles expertises ADN.
L’avocat réclame aussi une comparaison avec le profil génétique des 17 suspects recensés par les policiers à l’issue de la première enquête.
Parmi eux figure Jacques Maire, soupçonné du crime puis acquitté en 2008 mais aussi le routard du crime Francis Heaulme dont l’ADN intéresse la famille Haderer.
Pour rappel, une première enquête s'était terminée en 1994 sur un non-lieu. Plusieurs suspects ont été dans le collimateur des policiers mais aucune charge déterminante n’avaient pu être retenue contre l’un d’entre eux.
Deux ans plus tard, le dossier est de nouveau ouvert avec dans le collimateur un homme Jacques Maire, mais faute de preuve et après trois procès d’assises, il sera acquitté en 2008.
Le troisième volet de cette affaires toujours en cours s'est ouvert en 2009 après suite aux réclamations de Maître Pierre-André Babel, pour de nouvelles expertises ADN.
Le laboratoire médico-légal de Bordeaux avait alors entrepris d'analyser plusieurs traces d'ADN retrouvées sur les vêtements de la jeune femme : du sang sur le jean a révélé un profil génétique masculin, un autre a été découvert dans du sperme sur la culotte de la victime même s'il pourrait s'agir de celui de son compagnon d'alors, selon une source proche du dossier.
Le manteau de Nelly Haderer portait également une trace partielle d'ADN féminin et un mélange de profils masculin et féminin, différent des autres traces retrouvées, a été relevé sur le jean.