Publié le 28/11/2013 à 23:00
Temps de lecture : 2
min

Le bijoutier de Sézanne, dans la Marne, qui a abattu un individu venu le braquer, hier après-midi, est toujours placé en garde à vue.
Une information judiciaire devrait être ouverte samedi.
Selon le procureur de Châlons-sur-Marne, il avait « une autorisation préfectorale » de détention d'arme, et sa femme a rapporté qu'il avait déjà été attaqué quatre fois.
Le malfaiteur est rentré jeudi vers 16 h 30 à l'intérieur dans la boutique.
Le bijoutier, qui était à l'étage et qui est descendu une arme dissimulée dans son dos, et son épouse se sont méfiés du comportement « un peu bizarre » de ce client.
« Le client a sorti une arme, l'a pointée au niveau du visage du commerçant, le poussant au fond du commerce », a indiqué le procureur.
Son arme, de type gomme-cogne, « n'avait pas de munitions », a-t-il précisé.
Les quatre coups de feu ont été tirés alors que le malfaiteur tentait de se saisir de l'arme du bijoutier, lors d'un corps à corps.
Les déclarations du bijoutier ont été confirmées par le visionnage de la caméra placée à l'intérieur de la boutique.
L'enquête dira s'il a agit "en état de légitime défense".
Ce matin, près de 200 personnes ont pris part à une marche dans les rues de la ville, en soutien au bijoutier.
Comme pour le bijoutier de Nice, plusieurs pages Facebook ont été consacrées au bijoutier.
L'une de ces pages a déjà recueillit près de 30 000 "j'aime".
Une information judiciaire devrait être ouverte samedi.
Selon le procureur de Châlons-sur-Marne, il avait « une autorisation préfectorale » de détention d'arme, et sa femme a rapporté qu'il avait déjà été attaqué quatre fois.
Le malfaiteur est rentré jeudi vers 16 h 30 à l'intérieur dans la boutique.
Le bijoutier, qui était à l'étage et qui est descendu une arme dissimulée dans son dos, et son épouse se sont méfiés du comportement « un peu bizarre » de ce client.
« Le client a sorti une arme, l'a pointée au niveau du visage du commerçant, le poussant au fond du commerce », a indiqué le procureur.
Son arme, de type gomme-cogne, « n'avait pas de munitions », a-t-il précisé.
Les quatre coups de feu ont été tirés alors que le malfaiteur tentait de se saisir de l'arme du bijoutier, lors d'un corps à corps.
Les déclarations du bijoutier ont été confirmées par le visionnage de la caméra placée à l'intérieur de la boutique.
L'enquête dira s'il a agit "en état de légitime défense".
Ce matin, près de 200 personnes ont pris part à une marche dans les rues de la ville, en soutien au bijoutier.
Comme pour le bijoutier de Nice, plusieurs pages Facebook ont été consacrées au bijoutier.
L'une de ces pages a déjà recueillit près de 30 000 "j'aime".