Publié le 20/11/2013 à 23:00
Temps de lecture : 2
min
L'audition d'Abdelhakim Dekhar mis en garde à vue pour "tentatives d'assassinats", "enlèvement et séquestration", a commencé.
Le Mosellan natif d'Algrange, a été arrêté hier soir vers 19h dans un parking souterrain de Bois-Colombes, dans les Hauts-de-Seine.
Il était dans un véhicule stationné dans un parking public dans un état semi conscient après avoir absorbé des médicaments.
Son nom n'est pas inconnu des enquêteurs.
Il est apparu pour la première fois en 1994, dans l'affaire Rey-Maupin et la sanglante fusillade de Vincennes : quatre personnes avaient été tuées en octobre 1994.
L'affaire avait fait beaucoup de bruit dans les années 1990, jusqu'au procès en 1998, où Abdelhakim Dekhar avait été condamné à quatre années de prison. Il avait notamment acheté une des armes qui avaient servi à la fusillade.
L'homme a laissé derrière lui deux lettres saisies par la justice : il y évoque un "complot fasciste" qui passerait par les banques et les médias.
Ses lettres sont analysées par les enquêteurs et les experts psychiatres actuellement.
Le Mosellan natif d'Algrange, a été arrêté hier soir vers 19h dans un parking souterrain de Bois-Colombes, dans les Hauts-de-Seine.
Il était dans un véhicule stationné dans un parking public dans un état semi conscient après avoir absorbé des médicaments.
Son nom n'est pas inconnu des enquêteurs.
Il est apparu pour la première fois en 1994, dans l'affaire Rey-Maupin et la sanglante fusillade de Vincennes : quatre personnes avaient été tuées en octobre 1994.
L'affaire avait fait beaucoup de bruit dans les années 1990, jusqu'au procès en 1998, où Abdelhakim Dekhar avait été condamné à quatre années de prison. Il avait notamment acheté une des armes qui avaient servi à la fusillade.
L'homme a laissé derrière lui deux lettres saisies par la justice : il y évoque un "complot fasciste" qui passerait par les banques et les médias.
Ses lettres sont analysées par les enquêteurs et les experts psychiatres actuellement.
