Publié le 26/05/2013 à 22:00
Temps de lecture : 2
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Pour l'instant, les policiers de la brigade criminelle exploitent en priorité les témoignages recueillis sur les lieux et les images de vidéosurveillance.
Les enquêteurs ont aussi procédé à plusieurs auditions sur le terrain, samedi soir, mais les témoignages sont assez contradictoires, en particulier sur la tenue vestimentaire de l'agresseur.
L'agresseur est décrit comme quelqu'un de grand, mesurant environ 1 mètre 90 et portant une barbe.
Il aurait agit par surprise, en silence, avant de s'enfuir en se fondant dans la masse de la salle d'échange bondée de La Défense.
Cédric Cordiez, 25 ans, issu du 4ème régiment de chasseurs de Gap et participait à une patrouille Vigipirate classique de trois hommes lorsqu'il a été agressé.
L'homme est sorti de l'hôpital en ce lundi matin : « Je vais bien. Il n’y a rien de grave. Je ne veux pas angoisser ma famille et il n’y a pas de raison de le faire », lâche, excédé, Cédric Cordiez joint dans la soirée dans sa chambre d’hôpital.
Il « refuse » d’en dire plus sur le scénario de l’agression dont il a été victime, expliquant qu’il « n’a pas le droit de parler ».
Les enquêteurs ont aussi procédé à plusieurs auditions sur le terrain, samedi soir, mais les témoignages sont assez contradictoires, en particulier sur la tenue vestimentaire de l'agresseur.
L'agresseur est décrit comme quelqu'un de grand, mesurant environ 1 mètre 90 et portant une barbe.
Il aurait agit par surprise, en silence, avant de s'enfuir en se fondant dans la masse de la salle d'échange bondée de La Défense.
Cédric Cordiez, 25 ans, issu du 4ème régiment de chasseurs de Gap et participait à une patrouille Vigipirate classique de trois hommes lorsqu'il a été agressé.
L'homme est sorti de l'hôpital en ce lundi matin : « Je vais bien. Il n’y a rien de grave. Je ne veux pas angoisser ma famille et il n’y a pas de raison de le faire », lâche, excédé, Cédric Cordiez joint dans la soirée dans sa chambre d’hôpital.
Il « refuse » d’en dire plus sur le scénario de l’agression dont il a été victime, expliquant qu’il « n’a pas le droit de parler ».