
à l'International, la mort de Leila Alaoui, victime de l'attentat de ouagadougou.
C'était une jeune photographe franco-marocaine présente sur place pour le compte d'Amnesty International. Elle a succombé à ses blessures après avoir subi une lourde opération chirurgicale.
La vie de la jeune femme n'était pourtant pas en danger selon l'agence officielle marocaine qui citait deux émissaires de l'ambassade.
Exposée à New York, Dubaï, Paris…
Leïla Alaoui avait été blessée par balles vendredi soir, alors qu’elle se trouvait à la terrasse du café-restaurant Cappuccino. Transportée à l’hôpital, elle avait été opérée durant plusieurs heures. La jeune femme était reconnue dans son milieu professionnel, au Maroc, en France, ainsi qu’au Liban, où elle vivait une partie de l’année.
Après New York, Dubaï ou encore l’Institut du monde arabe à Paris, son travail avait été exposé ces dernières semaines -jusqu’à ce dimanche- à la Maison européenne de la photographie, à l’occasion d’une Biennale dans la capitale française. Elle se trouvait au Burkina Faso dans le cadre d’une mission pour l’ONG Amnesty International.