Publié le 26/06/2018 à 04:11
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A Jarny, Francis Siedlewski, dont la fille a été agressée sexuellement par un voisin condamné en première instance, n'a pas obtenu la mesure d'éloignement qu'il demandait à la justice. Après plus d'un mois d'attente, et une première audience en appel à Nancy, la cour, qui étudiait cette mesure, n'aura pas donné satisfaction au père de famille jarnysien.
Il joint la parole aux actes
Francis Siedlewski nous l'avait confié à la sortie de l'audience de mai dernier "Si je n'ai pas gain de cause, croyez-moi, je rejoindrai le ministère de la justice à vélo. Je m'arrangerai pour dormir chez l'habitant mais le but et d'arriver à Paris en 2 semaines".
Le père de famille est donc parti hier comme prévu vers 17 heures.
Une condamnation qui ne bouge pas
L'agresseur n'a vu aucun changement à sa condamnation. Il reste condamné à un an de prison avec sursis et devra verser à titre de dommages et intérêts : 6000 euros à la petite victime. 500 euros à chaque parents de victimes. Une interdiction de rentrer en contact avec la famille. Une obligation de soin et surtout son maintien au fichier des délinquants sexuels.
22 mètres le séparent de l'agresseur de sa fille
La famille de Francis Siedlewski habite dans le même lotissement que cet homme, à 22 mètres de distance. L'homme mis en cause a été condamné par le tribunal correctionnel de Briey, en décembre 2017, à une peine d'un an de prison avec sursis et cinq années de mise à l'épreuve. Mais il a fait appel de la décision.
Il joint la parole aux actes
Francis Siedlewski nous l'avait confié à la sortie de l'audience de mai dernier "Si je n'ai pas gain de cause, croyez-moi, je rejoindrai le ministère de la justice à vélo. Je m'arrangerai pour dormir chez l'habitant mais le but et d'arriver à Paris en 2 semaines".
Le père de famille est donc parti hier comme prévu vers 17 heures.
Une condamnation qui ne bouge pas
L'agresseur n'a vu aucun changement à sa condamnation. Il reste condamné à un an de prison avec sursis et devra verser à titre de dommages et intérêts : 6000 euros à la petite victime. 500 euros à chaque parents de victimes. Une interdiction de rentrer en contact avec la famille. Une obligation de soin et surtout son maintien au fichier des délinquants sexuels.
22 mètres le séparent de l'agresseur de sa fille
La famille de Francis Siedlewski habite dans le même lotissement que cet homme, à 22 mètres de distance. L'homme mis en cause a été condamné par le tribunal correctionnel de Briey, en décembre 2017, à une peine d'un an de prison avec sursis et cinq années de mise à l'épreuve. Mais il a fait appel de la décision.