Publié le 07/11/2017 à 07:38
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Les prévenus sont âgés de 33 à 44 ans et sont jugés depuis hier par le tribunal correctionnel de Nancy. Selo cette information de l'Est Républicain, sept des prévenus répondent de trafic de stupéfiants, les deux autres, d’association de malfaiteurs. L’affaire remonte à 2010-2012 et seul l’un des mis en examen comparaît en tant que détenu. Ce dernier s'appelle Abdel Y, c'est le plus âgé.
Un homme bien connu des services de police et qui a déjà été condamné à 5 reprises pour trafic de stupéfiants. Le Messin de 32 ans, qui est libérable en avril 2022, a déjà été interpellé à Bordeaux avec 500 kg de stupéfiants en 2002. Une autre fois, il a été arrêté avec 86 kg…
Trafic commandé depuis la prison
C’est dans le cadre d’une enquête sur un trafic en Moselle que la justice, grâce à des écoutes, est remontée fin 2010 jusqu’à ce prisonnier de la centrale de Clairvaux. Abdel Y, s’il est derrière les barreaux, est accro au portable : plus de 10.000 communications en une vingtaine de jours, à destination notamment du Maroc, d’où il est originaire, de la Belgique, des Pays-Bas ou encore de l’Espagne.
L'homme coordonnait son réseau depuis sa cellule sans avoir été pris pendant un long moment. Dans le box des accusés, il a reconnu que partiellement les faits, précisant qu'il n'avait effectué qu'un rôle d'entremetteur entre deux clients habituels.
Un homme bien connu des services de police et qui a déjà été condamné à 5 reprises pour trafic de stupéfiants. Le Messin de 32 ans, qui est libérable en avril 2022, a déjà été interpellé à Bordeaux avec 500 kg de stupéfiants en 2002. Une autre fois, il a été arrêté avec 86 kg…
Trafic commandé depuis la prison
C’est dans le cadre d’une enquête sur un trafic en Moselle que la justice, grâce à des écoutes, est remontée fin 2010 jusqu’à ce prisonnier de la centrale de Clairvaux. Abdel Y, s’il est derrière les barreaux, est accro au portable : plus de 10.000 communications en une vingtaine de jours, à destination notamment du Maroc, d’où il est originaire, de la Belgique, des Pays-Bas ou encore de l’Espagne.
L'homme coordonnait son réseau depuis sa cellule sans avoir été pris pendant un long moment. Dans le box des accusés, il a reconnu que partiellement les faits, précisant qu'il n'avait effectué qu'un rôle d'entremetteur entre deux clients habituels.