Publié le 25/06/2013 à 22:00
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Plus de vingt-sept ans après les faits, la Cour de cassation a validé, mardi, le renvoi du tueur en série Francis Heaulme devant les assises pour le meurtre de deux enfants de huit ans, en 1986, à Montigny-lès-Metz.
Conformément à l'avis de l'avocat général, la Cour a rejeté le pourvoi du "routard du crime", qui conteste avoir tué Cyril Beining et Alexandre Beckrich, retrouvés le crâne fracassé à coups de pierre le 28 septembre 1986 à proximité d'une voie ferrée dans la périphérie de Metz.
Parmi les charges qui pèsent contre Francis Heaulme, 54 ans, des témoins affirment l'avoir vu, le visage ensanglanté, peu de temps après le crime, non loin de la voie ferrée.
La gendarmerie a par ailleurs estimé reconnaître la "quasi-signature criminelle" du tueur en série, qui conteste ce double meurtre.
Et malgré des déclarations contradictoires, il a fourni aux enquêteurs mais aussi à certains co-détenus une description assez précise des lieux du crime.
Conformément à l'avis de l'avocat général, la Cour a rejeté le pourvoi du "routard du crime", qui conteste avoir tué Cyril Beining et Alexandre Beckrich, retrouvés le crâne fracassé à coups de pierre le 28 septembre 1986 à proximité d'une voie ferrée dans la périphérie de Metz.
Parmi les charges qui pèsent contre Francis Heaulme, 54 ans, des témoins affirment l'avoir vu, le visage ensanglanté, peu de temps après le crime, non loin de la voie ferrée.
La gendarmerie a par ailleurs estimé reconnaître la "quasi-signature criminelle" du tueur en série, qui conteste ce double meurtre.
Et malgré des déclarations contradictoires, il a fourni aux enquêteurs mais aussi à certains co-détenus une description assez précise des lieux du crime.