Publié le 11/12/2013 à 23:00
Temps de lecture : 2
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AFP:
Une aide-soignante d'une maison de retraite près de Chambéry en Savoie a été mise en examen, jeudi 12 décembre, pour six empoisonnements mortels et trois tentatives sur personnes vulnérables, a indiqué le parquet.
Cette femme de 30 ans, employée de l'établissement du Césalet à Jacob-Bellecombette depuis 2012, a administré un « cocktail de psychotropes » à neuf pensionnaires, « qui n'étaient pas en fin de vie » selon la vice-procureure, Dietlind Baudoin.
Aucun autre cas d'empoisonnement n'est suspecté par les enquêteurs à ce stade.
Au moment de son arrestation, l'aide-soignante a parlé d'un « cocktail médicamenteux » qu'elle aurait administré à des patients, qui « pour la plupart » étaient « âgés, voire très âgés », et souffraient « de pathologies lourdes », selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP. « Toute la difficulté dans cette affaire, c'est le problème de l'intention homicide », avait souligné cette même source.
L'aide soignante a avoué avoir administré une surdose médicamenteuse à six résidents pour mettre fin à leurs souffrances.
Elle est employée dans cette maison de retraite depuis août 2012 après avoir travaillé dans d’autres services de l’hôpital. Elle a été identifiée depuis quelque temps comme quelqu’un de fragile et était suivi par la médecine du travail. « Mais il n’ y avait pas de raison de la déclarer inapte » confie Guy-Pierre Martin.
Une aide-soignante d'une maison de retraite près de Chambéry en Savoie a été mise en examen, jeudi 12 décembre, pour six empoisonnements mortels et trois tentatives sur personnes vulnérables, a indiqué le parquet.
Cette femme de 30 ans, employée de l'établissement du Césalet à Jacob-Bellecombette depuis 2012, a administré un « cocktail de psychotropes » à neuf pensionnaires, « qui n'étaient pas en fin de vie » selon la vice-procureure, Dietlind Baudoin.
Aucun autre cas d'empoisonnement n'est suspecté par les enquêteurs à ce stade.
Au moment de son arrestation, l'aide-soignante a parlé d'un « cocktail médicamenteux » qu'elle aurait administré à des patients, qui « pour la plupart » étaient « âgés, voire très âgés », et souffraient « de pathologies lourdes », selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP. « Toute la difficulté dans cette affaire, c'est le problème de l'intention homicide », avait souligné cette même source.
L'aide soignante a avoué avoir administré une surdose médicamenteuse à six résidents pour mettre fin à leurs souffrances.
Elle est employée dans cette maison de retraite depuis août 2012 après avoir travaillé dans d’autres services de l’hôpital. Elle a été identifiée depuis quelque temps comme quelqu’un de fragile et était suivi par la médecine du travail. « Mais il n’ y avait pas de raison de la déclarer inapte » confie Guy-Pierre Martin.