Publié le 25/10/2017 à 05:57
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Crise ouverte entre le procureur et les gendarmes dans l'affaire Maëlys. Autant dire que c'est un différent qui n'arrive pas au bon moment, d'autant que la fillette n'a toujours pas été retrouvée, près de 2 mois après sa disparition.
Et pour cause, le procureur de Grenoble accuse la gendarmerie de fuites dans la presse, et demande l’ouverture d’une enquête. « J’ai ouvert vendredi dernier une enquête préliminaire pour violation du secret de l’enquête et de l’instruction, confiée à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et à la Direction interrégionale de police judiciaire de Lyon (DIPJ) », a déclaré le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat. Selon le magistrat, cette procédure est « assez rare » et « c’est la première fois qu’une enquête n’est pas confiée à l’inspection du service en question ». « Si les auteurs sont identifiés, il y aura des sanctions », a-t-il averti.
De son côté, le directeur général de la gendarmerie a jugé « scandaleuses » les « accusations péremptoires de la part du magistrat » concernant ces fuites.
Aujourd'hui, l'enquête piétine, les indices retrouvés ne permettent pas encore de confondre totalement le suspect Nordhal L. principal dans ce dossier. On rappelle que La dernière guerre de ce type remonte à l'affaire Grégory Villemin et avait débouché sur un fiasco judiciaire.
Et pour cause, le procureur de Grenoble accuse la gendarmerie de fuites dans la presse, et demande l’ouverture d’une enquête. « J’ai ouvert vendredi dernier une enquête préliminaire pour violation du secret de l’enquête et de l’instruction, confiée à la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et à la Direction interrégionale de police judiciaire de Lyon (DIPJ) », a déclaré le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat. Selon le magistrat, cette procédure est « assez rare » et « c’est la première fois qu’une enquête n’est pas confiée à l’inspection du service en question ». « Si les auteurs sont identifiés, il y aura des sanctions », a-t-il averti.
De son côté, le directeur général de la gendarmerie a jugé « scandaleuses » les « accusations péremptoires de la part du magistrat » concernant ces fuites.
Aujourd'hui, l'enquête piétine, les indices retrouvés ne permettent pas encore de confondre totalement le suspect Nordhal L. principal dans ce dossier. On rappelle que La dernière guerre de ce type remonte à l'affaire Grégory Villemin et avait débouché sur un fiasco judiciaire.