Publié le 26/04/2018 à 03:52
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La chambre de l’instruction de Dijon a partiellement levé le contrôle judiciaire de l’ex-adolescente qui demeure mise en examen. Elle devrait être hébergée par une amie. Après une première demande rejetée à la fin de janvier, les avocats de Murielle Bolle avaient plaidé le 13 avril la levée ou, à défaut, la modification du contrôle judiciaire strict auquel leur cliente est soumise, contrainte de résider dans la Nièvre, loin des Vosges, depuis le début d’août 2017. La décision avait été mise en délibéré.
Un des avocats de Mme Bolle, Me Christophe Ballorin, a souligné qu’il s’agissait d’un « énorme soulagement » pour sa cliente, dont « l’objectif essentiel était de reprendre le cours de sa vie dans les Vosges, ce qu’elle va s’empresser de faire ».
On rappelle que la justice soupçonne Murielle Bolle, aujourd’hui âgée de 48 ans, d’avoir participé à l’enlèvement, et soutient que sa rétractation s’explique par des violences familiales subies à l’époque.
Un des avocats de Mme Bolle, Me Christophe Ballorin, a souligné qu’il s’agissait d’un « énorme soulagement » pour sa cliente, dont « l’objectif essentiel était de reprendre le cours de sa vie dans les Vosges, ce qu’elle va s’empresser de faire ».
On rappelle que la justice soupçonne Murielle Bolle, aujourd’hui âgée de 48 ans, d’avoir participé à l’enlèvement, et soutient que sa rétractation s’explique par des violences familiales subies à l’époque.