Publié le 22/12/2017 à 04:35
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A Aumontzey, Jacqueline et Marcel Jacob se sont retrouvé hier soir à la veille des fêtes, 6 mois après avoir été séparés par leur interpellation et leur mise en examen dans l'affaire Grégory Vuillemin.
Tous deux restent suspectés de complicité dans le meurtre du petit garçon, retrouvé pieds et poings liés dans la Vologne en 1984. Les avocats du couple, marié depuis 52 ans, souhaitent que la mise en examen de leur client soit levée au plus vite et qu'ils puissent vivre loin des projecteurs.
Le 20 novembre, la chambre de l’instruction de Dijon avait autorisé la grand-tante du petit Grégory à revenir dans les Vosges.
Son avocat, maître Bouthier ne cachait pas non plus son plaisir devant les retrouvailles du couple, à Vosges Matin: « Ma cliente attendait cette décision. C’est un signe positif. Ils sont heureux tous les deux, au moment des fêtes de fin d’année. » Et Maître Giuranna d’ajouter : « C’est un vrai soulagement. Maintenant, il faut les laisser savourer tranquillement ce moment. »
L’avocat de Jacqueline Jacob est revenu sur ces six derniers mois toujours chez nos confrères : « Nos clients ont été jetés dans un tourbillon médiatique. On n’imagine pas ce qu’ils ont vécu. Depuis 33 ans, ils ont toujours la même histoire à raconter. On espère que le point final à leur mise en examen va être rapidement donné. »
Victoire importante pour la defense
Les Jacob s'étaient trouvé dans le collimateur de la justice au début des années 1990, mais aucune charge, finalement, n'avait été retenue à leur encontre par les juges Simon puis Martin, qui avaient repris l'instruction très controversée initialement conduite par leur collègue Jean-Michel Lambert.
Dans les jours suivant la mort de Grégory, la gendarmerie avait d'ailleurs vérifié auprès de la direction de l'usine que Marcel et Jacqueline Jacob ne s'étaient pas absentés le jour du crime.
Tous deux restent suspectés de complicité dans le meurtre du petit garçon, retrouvé pieds et poings liés dans la Vologne en 1984. Les avocats du couple, marié depuis 52 ans, souhaitent que la mise en examen de leur client soit levée au plus vite et qu'ils puissent vivre loin des projecteurs.
Le 20 novembre, la chambre de l’instruction de Dijon avait autorisé la grand-tante du petit Grégory à revenir dans les Vosges.
Son avocat, maître Bouthier ne cachait pas non plus son plaisir devant les retrouvailles du couple, à Vosges Matin: « Ma cliente attendait cette décision. C’est un signe positif. Ils sont heureux tous les deux, au moment des fêtes de fin d’année. » Et Maître Giuranna d’ajouter : « C’est un vrai soulagement. Maintenant, il faut les laisser savourer tranquillement ce moment. »
L’avocat de Jacqueline Jacob est revenu sur ces six derniers mois toujours chez nos confrères : « Nos clients ont été jetés dans un tourbillon médiatique. On n’imagine pas ce qu’ils ont vécu. Depuis 33 ans, ils ont toujours la même histoire à raconter. On espère que le point final à leur mise en examen va être rapidement donné. »
Victoire importante pour la defense
Les Jacob s'étaient trouvé dans le collimateur de la justice au début des années 1990, mais aucune charge, finalement, n'avait été retenue à leur encontre par les juges Simon puis Martin, qui avaient repris l'instruction très controversée initialement conduite par leur collègue Jean-Michel Lambert.
Dans les jours suivant la mort de Grégory, la gendarmerie avait d'ailleurs vérifié auprès de la direction de l'usine que Marcel et Jacqueline Jacob ne s'étaient pas absentés le jour du crime.