Publié le 12/06/2013 à 22:00
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Après un retour au calme autour de la place Taksim à Istanbul après 13 jours maintenant de manifestations, le premier ministre turc Erdogan se veut ouvert à l'idée d'un référendum local sur le projet d'aménagement de la place.
Au lendemain de l'intervention de la police sur cette place, le chef du gouvernement s'est longuement entretenu avec des "représentants" de la contestation, devant lesquels il a prudemment avancé l'idée de consulter la population de la mégalopole turque, avec l'espoir qu'elle accélère la fin du mouvement.
La coordination des manifestants du parc Gezi, la plateforme de 116 associations qui anime la contestation, n'a ainsi pas été conviée.
Et d'autres invités, comme Greenpeace, ont préféré déclarer forfait pour dénoncer l'opération coup de poing de la police et l'intransigeance du Premier ministre.
Pour rappel, le vaste projet de réaménagement de la place, et en particulier la destruction du parc Gezi, est évoqué pour y implanter un gigantesque centre commercial.
Au lendemain de l'intervention de la police sur cette place, le chef du gouvernement s'est longuement entretenu avec des "représentants" de la contestation, devant lesquels il a prudemment avancé l'idée de consulter la population de la mégalopole turque, avec l'espoir qu'elle accélère la fin du mouvement.
La coordination des manifestants du parc Gezi, la plateforme de 116 associations qui anime la contestation, n'a ainsi pas été conviée.
Et d'autres invités, comme Greenpeace, ont préféré déclarer forfait pour dénoncer l'opération coup de poing de la police et l'intransigeance du Premier ministre.
Pour rappel, le vaste projet de réaménagement de la place, et en particulier la destruction du parc Gezi, est évoqué pour y implanter un gigantesque centre commercial.